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Ian Stevens

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Anonymous
Invité

28.04.22 15:05
Fiche validée
Ancien membre
Genre : Homme
Âge : 29 ans
Taille / Poids : 1m89 / 76kg
Métier : Psychologue/Sexologue


Ian
Stevens

28 ans
Né.e le 30/05/1993

Sexe M
Homme/Garçon

Pansexuel
55 Scarsdale Villas

Origine : Anglo-Japonaise
Nat. : Anglaise

Castel
Psychologue Sexologue

À l'Institution
Depuis Mars 2019

Papa poule
Beau gosse

CaractèreLa particularité d’Ian est qu’il sait s’adapter à chaque personne qu’il côtoie. Mais il a deux personnalités qui cohabitent assez facilement. Le Ian psychologue et le Ian naturel. L’un étant patient, l’autre... "légèrement" prétentieux. Mais il y a bien des traits de caractères communs. Commençons par là. Ian est quelqu’un de très ambitieux et opportuniste, il est prêt à tout pour grimper les échelons, et se donne très vite les moyens. Il a un atout en plus, sa beauté, autant en jouer. Il est très charismatique, confiant, ayant conscience de son charme car il est très coquet et prend grand soin de son physique. C’est aussi un homme intelligent et cultivé. Il est très expressif, ses émotions étant très rapidement transmises sur son visage, mais est cependant inébranlable. Il est très difficile de le prendre au dépourvu, sachant s’adapter à chaque situation et chaque personne. C’est quelqu’un d’indépendant et de maniaque, son appartement étant toujours impeccablement rangé. Il est donc tout aussi doué en cuisine. Il est galant et taquin, aimant jouer avec la personne qui l’intéresse. Cependant, dans l'amour, on découvre un homme tendre et protecteur, avec un instinct paternel extrêmement développé, et un peu (trop) possessif.

Quand Ian entre dans son rôle de psy, il devient quelqu’un de très compréhensif et patient, rappelant son côté papa, qu'il a de plus en plus de mal à cacher suite à la naissance de Mia. Il arrive à se mettre à la place de son patient, lui permettant de comprendre plus rapidement leurs problèmes. Il est très empathique, attentif et courtois, gentil et très impliqué dans son travail. Il a pour habitude de persévérer et d’être optimiste face à ses patients pour espérer leur transmettre ces sentiments. Il est très ouvert se concernant, n'ayant pas de problème à parler de lui s'il le faut, il est réfléchit et sociable, tendre mais un peu fouinard.

Cependant, en dehors de son travail, Ian peut devenir assez insupportable, s’il n’a pas l’intention de séduire quelqu’un, ou s'il n'apprécie pas la personne. Il peut devenir arrogant, fier, et hautain, assez pervers et débauché même si cette part de lui a été canalisée par sa petite amie. Il lui arrive souvent de dire ce qu’il pense sans vraiment faire attention aux conséquences, surtout face à son père. Il est joueur, impudent et aime le sarcasme. Aimant particulièrement jouer à des jeux de séduction allant parfois jusqu'à l'indécence, c’est quelqu’un de malicieux mais de très passionné.
PhysiqueYeux : Verts
Cheveux : Bruns
Traits du visage : Typé japonais
Taille : 1m89
Poids : 76kg
Marques visibles : Porte des lunettes
Vêtements et/ou style : Costard cravate avec des gants généralement rouges
Autre chose ? Corpulence svelte et légèrement musclé

Ian est un très bel homme anglais, à moitié japonais, qui fait attention à son apparence. Car on dit bien souvent que la première impression se fait par l’apparence. Il en est d’ailleurs très fier. Il possède une allure très gracieuse, mature et parfois hautaine.
Tous les matins, il fait attention à ce que ses vêtements soient impeccablement repassés et propres, prend la peine de se coiffer et de se parfumer. Un costard, une cravate, des chaussures bien cirées, des accessoires soigneusement choisis. Il a un style vestimentaire très chic, un peu excentrique car il ne passe pas inaperçu et bien sûr, à la dernière mode.

Il lui arrive même parfois de faire quelques soins pour se détendre tout en faisant attention à lui. Sa pilosité étant très peu importante d’origine, il n’a pas le besoin de s’épiler et se contente de s’occuper de sa barbe tous les matins, prenant soin à ce que sa peau reste douce. Il n’a ni grains de beauté, ni tâches de naissance qui pourraient mettre en danger sa peau. Aucune imperfections, seulement une peau douce et blanche. Cependant, elle est sensible au soleil. Il ne peut donc pas sortir sans crème, et cela, même pour bronzer un minimum.

Puis, chaque matin, il part faire son jogging matinal pour rester en forme. Il est donc légèrement musclé, mais assez pour que ses abdos soient agréablement visibles. Il est mince, grand avec donc une corpulence dans la moyenne basse.
On lui a souvent fait la remarque qu’il tient beaucoup de sa mère. Leur ressemblance étant visible principalement au visage, reprenant ses traits fins et sa forme de cœur. Son nez est un peu plat et droit. Ses lèvres fines s’étirent souvent dans un sourire arrogant, moqueur ou séducteur. Ses sourcils sont fins et reprennent la couleur brune de ses cheveux.
Fins, brillants et courts, ils sont d’ailleurs toujours impeccablement coiffés et naturellement raides. Ses yeux sont verts, légèrement bridés, et bordés de longs cils noirs, montrant ses origines anglaises donnée par son père. Son regard perçant, donnant l’impression qu’il connaît tous nos secrets, est parfois caché derrière des lunettes de repos qu'il porte quand il lit ou va au cinéma.

Et enfin, sa voix est grave, agréable et chaleureuse, contredisant totalement l’impression d’arrogance que son apparence donne. Car c’est un homme qui s’adapte. Mais je vous en parlerais un peu plus dans le caractère.

Histoire
Bien ! Parlons un peu de moi tiens, c’est un sujet que j’apprécie particulièrement, même si j’avoue ne pas le partager à tout bout de champ, soyez donc honorés ! Car j’aime être mystérieux~
Je suis né à Londres, le 30 mai 1993, un dimanche ! Mon père est anglais, et détestable, et ma mère est japonaise. En passant, il ne la mérite pas. Mais s’il n’était pas là, je ne le serais pas non plus, alors, je le tolère tout en essayant de lui mener la vie dur pour qu’il se barre de lui-même. Mais il est coriace…
Si on ne prend pas en compte mon père hautain et autoritaire, j’ai eu une enfance plutôt heureuse. Je passais la plupart de mes vacances au Japon, loin de mon père, qui restait en Angleterre pour le travail, et proche de la famille de ma mère que j’apprécie beaucoup. C’était la période de l’année que je préférais parce que j’étais enfin seul avec les personnes que j’aime. Ma mère et mon petit frère, Loan. Loan est autiste. C’est lui qui m’a motivé à faire ce que je fais aujourd’hui. Mais sans mentir, c’est aussi à cause de son diagnostic que je me suis retrouvé avec mon père sur le dos. J’étais… et je suis encore, son seul espoir pour faire grandir le nom des Stevens. Mais l’on n’est plus au 18ème siècle… Il a donc été de plus en plus insupportable et demandeur avec moi, n’arrangeant pas l’opinion déjà bien basse que j’avais de lui.

L’attention de ma mère était focalisé sur mon petit frère qui en avait indéniablement besoin. Et celle de mon père était, malheureusement sur moi. Or, détrompez-vous !
J’adore et aime d’un amour sincère Loan, il est ma lumière. Nous avons toujours eu une relation très forte, très fusionnelle, malgré son côté très peu sociable. Il nous arrivait souvent, plus jeunes, de fouiner hors de nos chambres pour aller dormir avec l’autre, et la plupart du temps, je parlais de moi, de l’école, plaisantais, et lui racontais pleins d’histoires pendant qu’il m’écoutait silencieusement, fidèle à lui-même.

J’avoue que j’ai toujours eu des facilités à parler avec les autres, et j’inspirais assez confiance pour que certains amis se mettent à se confier. Surtout que j’avais la réputation d’être fils de psychologue alors… Il arrivait qu’ils viennent pour une « consultation » gratuite. Mon père a rapidement vu, grâce aux rapports des professeurs que j’étais plutôt doué, et il a commencé à avoir encore plus d’espoir en moi…
Certes, je voulais devenir psychologue, mais ce n’était absolument pas pour lui, et ma mère s’inquiétait que je fasse les choses pour lui faire plaisir. Maintenant que j’y pense, c’est assez drôle parce que jamais ça ne me serait venu à l’esprit de faire ça… Mère a une trop haute opinion de moi… Il fallait donc que je la rassure régulièrement, lui répétant que je le faisais pour moi, et pour Loan aussi, un peu, pour aider les gens qui ont besoin de mes conseils, de mes mots, pour guérir leur esprit et leur cœur.

Tout ça, c’était dans la période du collège. Quand je suis arrivé au lycée, mon père m’a inscrit à Indarë, en tant que Gifted externe spécialisé en Psychologie. C’était le seul lycée qui proposait ce parcours.
Quand j’ai eu… 15 ans. J’ai eu ma première fois. Avec une fille. Elle était très jolie, et plus vieille que moi. J’avoue que j’étais nerveux au début, mais elle l’avait déjà fait. Et m’a rapidement initié. J’avoue que j’y ai rapidement pris goût. Un peu trop même. Jusqu’à devenir… accro. Bien sûr, je ne ramenais personne à la maison, ça allait de soi ! Mes parents ne sont toujours pas au courant pour mon addiction. J’avoue que maintenant, ça s’est bien calmé, Cordelia m’aide beaucoup. Mais oui, vous pouvez imaginer l’impact que ça a sur la vie d’un adolescent. Masturbation un peu trop récurrente, visionnage en secret de pornographie, et puis l’envie de le faire tout le temps, avec pleins de personnes différentes. Ce n’est pas facile à vivre au quotidien, et j’avoue que je ne sais pas comment mes parents ne s’en sont pas rendu compte. Quoique… j’ai ma petite idée. Mon père en a rien à faire de moi, et ma mère, est trop respectueuse pour venir fouiner dans la chambre de son fils. Peut-être qu’elle aurait dû, je me serais rendu compte de mon addiction bien plus vite, et aurait pu la soigner… Mais bon, ça ne sert à rien de regretter le passé ! J’avais de bonnes notes, c’est tout ce qui importait pour ma mère et mon père. Pendant cette période, on peut dire que je l’ai fait avec la majorité du lycée, et je jouissais d’une réputation plutôt flatteuse. « Le Dieu du Sexe »~ À 17 ans, c’est plutôt agréable, on ne va pas se mentir.

Comme vous pouvez vous en doutez, j’ai eu mon diplôme du premier coup, et je suis allé à l’université de Londres pour continuer dans une Licence Psychologie. À partir de ce moment, j’ai commencé à habiter seul. Ce qui veut dire~ Que je pouvais ramener des gens chez moi sans crainte. Bon, c’était un appart payé par mon père… Je ne suis pas fier d’avoir dépendu de lui, mais il m’a bien dépanné, je ne peux pas mentir. Ce n’est que récemment que j’ai déménagé. Enfin ! Bien que je vive dans Londres même pour les études, je partais tous les week-end dans le pays pour aller voir ma famille, c’est-à-dire Loan et ma mère, pour voir s’ils allaient bien et si mon père ne leur menait pas trop la vie dure. Les études ont été relativement calme. Je n’ai pas revu mes amis du lycée, comme Cordy, et d’autres. Mais ça m’allait bien. Je voyais de nouvelles têtes, et expérimentais de nouvelles choses, j’enchaînais les conquêtes, toujours fidèle à ma réputation avec comme règle de ne jamais le faire plus de deux fois avec la même personne. Loin de moi l’envie que l’un ou l’une d’entre eux s’attache véritablement à moi… ça aurait été pénible.

Je continue mes études jusqu’au Master que je réussi haut la main, et grâce au piston de mon père… pas de commentaires… J’ai pu avoir un stage avec un psychologue de renom, j’avoue que j’ai énormément appris pendant cette période, et j’ai commencé à savoir quel genre du psy je voulais devenir. Le contraire de mon père. Lui se contentait de gagner de l’argent sur le dos des souffrances de ses patients, préférant écrire des livres sur eux plutôt qu’en les soignant véritablement. Je voulais être sur le terrain. Je voulais vraiment aider les gens, en toute bienveillance, et sans convoitise. À la fin de mon Master, j’ai dû faire un suivi psychologique pour me déterminer apte ou pas à exercer. C’était avec la condition que je soigne mon addiction au sexe, que j’ai pu recevoir cet accord professionnel. Et après ce nouveau suivi, j’ai décidé d’étudier la sexologie pour aider les personnes comme moi, qui ont quelques soucis avec leur sexualité. Je suis donc officiellement psychologue et sexologue, et j’avoue que je pense à faire une formation pour devenir psychiatre.

Puis vint le moment de choisir où je travaillerai, et mon choix s’est rapidement porté vers Indarë. Un endroit familier, dont je n’ai aucun secret, et où se trouve certainement les adolescents qui ont le plus besoin d’aide. C’était l’endroit parfait, et visiblement, la directrice le savait, puisque j’ai été accepté en mars 2019.

J’y ai retrouvé Cordelia, qui était devenue professeur d’italien, sans surprise. On a toujours été complice. L’italienne a une énergie communicative, et on a pas mal de choses en commun, le sexe en fait partie. Je l’avais déjà fait avec elle une fois, au lycée, et quand on s’est revu, autour d’un dîner chez elle dans sa résidence du lycée, la soirée a rapidement dérapé.
Puis l’été qui a suivi, je me suis porté volontaire pour accompagner le groupe d’élèves qui partaient en France avec l’école. Il y avait pas mal de Potions, alors ma présence n’était pas de trop. Et on s’est retrouvé dans la même chambre avec Cordelia… Je ne vais pas vous faire un dessin… vous nous connaissez maintenant. On est… étonnamment… très compatible.
J’avoue que à la suite de ça, j’ai été perturbé. C’est la première fois que je le faisais trois fois avec la même personne et… quand j’y pensais, ça ne me dérangeait pas de le faire une quatrième, voire une cinquième fois. Elle m’intriguait, me déstabilisait. Ses sourires, ses rires, ses regards coquins et joueurs. Maintenant que j’y pense, j’étais cuit depuis la soirée chez elle.

En novembre 2019, Londres a été victime d’un gros ouragan, Malon. Je me suis retrouvé avec Cordelia et un groupe d’élèves qu’il fallait à tout prix protéger. À plusieurs reprises nous avons échappé à la mort… L’auditorium inondé avec les fils électriques qui étaient en contact avec l’eau, est le moment qui m’a le plus marqué… Mais, c’est une fois dans le gymnase, qui m’est arrivé du mal. Nous allions chercher des matelas pour les élèves, pour qu’ils soient confortablement installés le temps de l’attente. Cependant, les étagères n’étaient pas bien fixées, et je me les suis pris dans la tête, ainsi que tout ce qu’il y avait dessus, m’assommant en passant.
Je sais que je ne pouvais plus bouger, j’avais aussi du mal à respirer, mais j’entendais tout ce qu’il se passait dans la pièce. Cordelia était inquiète, et elle m’a avoué qu’elle m’aimait… Je me souviendrais toujours de ses mots.

"Ouvre les yeux, je t'en prie... Je tiens trop à toi, t'as pas le droit de me laisser tomber maintenant. J'aime quand tu me rends folle mais pas de cette manière. Pas folle d'inquiétude. Alors rouvre ces putains de beaux yeux que tu possèdes."

C’était… adorable. Après ça, j’ai repris connaissance, elle s’est blessée à la tête, puis Chelsea, une élève, a remarqué notre absence et est venue nous aider.
Une fois que la situation s’est calmée, nous avons tous été transférés à l’hôpital, et je me suis retrouvé avec une fracture de la jambe à cause de la chute du bois de l’étagère. Cordelia est souvent venue me voir, pendant que j’étais en pleine réflexion concernant mes sentiments. J’avoue que j’avais peur. C’est quelque chose que je ne connaissais pas, je n’étais même pas sûr d’être capable d’avoir une relation amoureuse normale mais… je ne pouvais tout simplement plus me mentir et nier ces sentiments qu’elle avait éveillé en moi. Alors je lui ai tout avoué, et après avoir… consommé… dans la salle d’eau de ma chambre d’hôpital, on s’est mis ensemble !~

Je ne vais pas vous conter tous les détails, vous voyez ce qu’est un couple. Excepté le fait qu’on avait une fréquence sexuelle beaucoup plus élevée que la moyenne, on était relativement normaux ! Des taquineries, des câlins, des moments en amoureux, des sorties entre amis, au restau, au cinéma… J’avoue que c’est un peu cliché mais je découvrais totalement ce qu’était un couple dit « stable ».

Après 6 mois de relation, j’étais assez confiant pour me dire que je pouvais la présenter à ma mère et mon petit frère – et mon père accessoirement - alors nous sommes aller en dehors de Londres, dans le pays, pour retourner dans la maison de mon enfance, la maison familiale. Ça s'est relativement bien passé. Cordelia s'est vite très bien entendue avec ma mère, Loan a été très poli avec elle, tout de même limité par son autisme, et quant à mon père... Je me moque qu'il l'apprécie ou pas, il n'a pas son mot à dire. Cependant, ce jour-là, nous avons tous appris que Cordelia était enceinte. J'avoue que j'ai eu comme un choc. Papa… moi ? Ça me paraissait invraisemblable, impossible... et immérité. Mais je n'allais pas l'abandonner, et j'ai décidé de prendre mes responsabilités, malgré la peur qui me nouait le ventre.

On s'est donc installé ensemble, dans une maison dans l'un des plus beaux quartiers de Londres, et avons tout fait pour que le bébé arrive dans les meilleures conditions. Et le 18 janvier 2021, Mia Calvelli Stevens est née. Ma fille. Mon ange. J'ai eu un déclic quand je l'ai prise dans mes bras pour la première fois. Comme si, elle était la raison de tout. Comme si, elle était tout ce que j'avais toujours voulu, me voilant la face en enchaînant les conquêtes. Je peux véritablement dire, que c'était le plus beau jour de ma vie… Passant devant le jour où je me suis mis en couple avec Cordelia.

Depuis sa naissance, ma mère vient beaucoup plus souvent sur Londres pour venir nous voir tous les trois avec Loan. Elle nous aide, nous conseille, et baby-sitte souvent la petite quand on veut sortir en amoureux, ou quand je ne peux pas la prendre à l'institution. Je suis content de les voir plus souvent, le seul hic, c'est qu'elle me parle souvent de mariage, me propose de m'accompagner en bijouterie, etc… Je comprends qu'elle s'inquiète et ne souhaite que de la stabilité pour sa petite fille mais… Je ne sais pas… Je ne sais pas si je suis prêt. J'y pense, sérieusement… Mais je doute encore de moi.

Je crois que c'est pour ça que j'essaye de souvent emmener Mia au travail. Mon bureau étant calme, elle n'a pas de problème à y dormir, et ça permet à Cordelia de pouvoir continuer de s'occuper d'elle et l'allaiter sans avoir à prendre d'autres congés de plus. Je sais qu'elle n'aime pas s'arrêter de travailler. Et puis, on ne va pas se mentir, quand mes patientes viennent et voient un bébé, ça aide a délier les langues~

Pseudo : Lova
Âge : 27
Lecture 18+ : Oui

Commentaires/précisions : Je viens faire du bazar 8D
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Martel Raykin
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Martel Raykin PNJ |:| Directrice
PNJ |:| Directrice
Genre : Femme/Fille
Sexe : Féminin
Age : 42
Date de naissance : 12/09/1981
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Orientation sexuelle : Pansexuelle
Situation amoureuse : Mariée à Nate Raykin
Famille : Mère de Zack et Scarlett (05/2011) & Aydan Raykin (09/2014)
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Date d'inscription : 15/03/2022
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01.05.22 20:02
Fiche validée
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Il va nous falloir des lycéens pour te donner du taf :oignon: et socialiser la petite au passage vu que les patient.es lui font des papouilles

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