Jake Sung-Geon

Ancien membre

Genre : Homme

Âge : 29 ans

Taille / Poids : 1m86 /

Métier : Prof de sport

Jake

Sung-Geon

29 ans

Né.e le 14/05/1993

Sexe M

Homme/Garçon

Hétéro'

Résidence Castel

Origine : Corée du Sud

Nat. : Angloréen

Castel

Professeur de Sport

À l'Institution

Depuis 2016

Ambidextre, aimes beaucoup le vert

Possèdes trois chats.

CaractèreAime : La boxe, se défouler, les animaux, la musique, la HealthyFood.
Déteste : Le fait que tu fumes, attendre, l’administratif.
Manies/tics : Sautille sur place quand tu dois attendre.
Centres d'intérêts : Le sport, les jeux vidéo.
Peurs/phobies : De nouveau t’emporter et retomber dans une rage intense.
Passion/Rêve : Les as malheureusement perdu par le passé.

Traits de personnalités :
Chaleureux : Bien que tu portes un masque, on peut toujours discerner un franc sourire derrière celui-ci. Sans doute tes yeux, très expressifs. Que ce soit avec les enfants ou tes collègues, tu fais toujours en sorte que l’ambiance soit conviviale et agréable à supporter.
Pédagogue : A travers tes cours, tu tentes d’inculquer aux jeunes une forme de respect, que ce soit envers les autres et/ou les activités. Le travail d’équipe, la compétition, les efforts récompensés, c’est une vision que tu apprécies distribuer pour leur avenir. Après tout, ils seront forcément amenés à y être confronté à un moment, ou un autre.
Énergique : Un entrain sans pareil t’anime du matin au soir. Bien sûr, il t’arrive d’avoir des coups de mou mais ce n’est rarement plus d’une soirée par semaine. Toujours volontaire, toujours premier, jamais démoralisé. Une force de vie très communicative dans ton entourage.
Amoureux des animaux : Que ce soit les plus mimis jusqu'aux hideux en passant par les bizarres, la cause animale t'a toujours semblé juste à défendre. Au point que tu peux virer abruti et très naïf quand on aborde le sujet. Mais tu les défendras et les aimeras jusqu'au bout de ta vie.
Self-Control : Tu as un sang chaud. Bouillant. Que tu es capable d'appeler et de faire jaillir à ta guise. Tu le faisais, par le passé. Maintenant, tu évites d'y avoir recourt et possède une capacité à rester calme à toutes épreuves : incendie, bagarre entre étudiant, plan drague un peu foireux...
Dépression chronique : Bien que cela soit un cliché, cela n'a rien à voir avec ton métier actuel, que tu apprécies énormément. Ta remise en question constante et ton passé perdu ressurgissent régulièrement, venant balayer une grande partie de ce que tu es pour ne laisser qu'une masse informe molle. Heureusement, cela ne dur pas très longtemps.
Traumatisme : En plus du masque, tu caches une cicatrice un peu plus mental. Serrer des mains, tant que c'est fait lentement, tu t'y es accoutumé mais te faire approcher, des gestes amples à ton égard, une surprise déclenchent chez toi des crises d'angoisses internes que tu ne peux calmer soit qu'en frappant le problème soit en t'éloignant et partir courir loin de la vue de tous.

PhysiqueYeux : Bleu Électrique
Cheveux : Noir de jais
Couleur de peau : Blanche
Taille : 1m86
Poids/Morphologie : Musclé, bien taillé
Traits du visage : Carré malgré quelques irrégularités
Marques visibles : Cicatrice à la commissure droite des lèvres, de nombreux tatouages sur les bras et les jambes.
Vêtements/style : Simple et proche du corps.
Autre : Porte un masque en public, pour cacher la cicatrice, de nombreuses bagues en argent aux doigts, de nombreux colliers en argent aux coups.

Histoire

- Et dans le coin gauche, on ne le présente plus, le champion déchu de la catégorie poids moyen qui nous revient après deux années de disparition… Jake Sung-Geon !

Ce ne fut pas la musique de célébration habituelle. Il y eut d’abord un long silence, avant que le projecteur ne se braque sur ta face. Aveuglé, tu portas une main au visage, pour tenter de t’habituer à cette luminosité intense. Puis, tu commenças à t’avancer en direction du ring, que tu commençais à discerner. C’est à ce moment-là que les hués se mirent à parvenir à tes oreilles, bruit des plus assourdissant, comme si les gradins se trouvaient remplis au triple de sa capacité. Déboussolé, hébété, tu te rendis compte que ce n’était pas ton lieu habituel en posant le pied sur l’air de combat, passant sous les cordes.

Ce fut l’arrêt des brimades à ton encontre, laissant un vide pesant et presque autant assourdissant. En face de toi te faisait face celle qui t’accompagnait à l’époque. Son visage était dénué d’émotions et te regardait sans te voir, semblant fixer un point invisible derrière toi. Un léger courant d’air glacé te parvint dans ton dos et une présence menaçante se fit ressentir. Tu la reconnaissais, sans même à avoir à te retourner. Ton cœur s’emballa et ta lèvre se mit à palpiter. Serrant le poing, tu te retournas, prêt à frapper avec toute la puissance et la rancœur que tu pouvais posséder. Ce fut de nouveau elle, au sol, avec un visage terrifié et te suppliant de ne pas le faire. Clignant des yeux, tu te stoppas, alors qu’une lame venait passer le long de ton visage.

- Oui… C’est ainsi que tout le monde te verra maintenant.

Un flash, un bruit strident et tu te réveillas en sueur, dans cette chambre que tu habites maintenant depuis près de six années. Tu eus un peu de mal à émerger, à te rendre compte que ce n’était que ce cauchemar récurrent qui hantait tes rêves certaines nuits. Soufflant doucement, tu te levas pour éteindre ton réveil. Ta routine put commencer avec tes étirements et ton entrainement matinal. Tu n’y coupais jamais, te lançant une petite vidéo ou un épisode de série en fond pour t’accompagner. Cela te prends généralement une petite demi-heure, avant de passer à la douche et prendre ton petit-déjeuner par la suite. C’est toujours à ce moment-là que ton esprit vagabonde et repense un peu à tout ton passé.

Ton nom de famille te vient des origines de ton père et ton prénom à ceux de ta mère. Tu es né et a vécu une très grande partie de ta vie en Corée du Sud, grandissant et apprenant leurs coutumes, te rendant tel que tu es aujourd’hui. Bien entendu, il y a eu une autre part de cette vie qui t’a rendu tel que tu es et qui se résume à un sport : la boxe. Tu es un peu tomber dedans par hasard, personne ne t’a vraiment mis dedans à part toi-même. Quand tu étais gamin, tu as eu cette envie de faire du sport, de bouger, ce que tes parents ont suivi et accompagné, pour s’assurer que tu choisisses un domaine qui te plait.

Tu as touché un peu de tout avant de choisir la boxe : que ce soit du basket, du foot, du tennis en passant par les arts martiaux, le fait de te faire bouger est quelque chose que tu as apprécié directement. Tu n’es pas directement tombé amoureux de la boxe mais as apprécié sa simplicité et complexité à la fois. Y prendre gout, le fait de faire ça en hobby a vite évolué quand tu as remarqué que tu possédais un certain talent ainsi qu’une détermination à toute épreuve. Tu es devenu bon, très bon, excellent, au fur et à mesure que les années et les entrainements se succédèrent.

Rapidement, une carrière de boxeur professionnel s’ouvrit à toi dans la catégorie des poids moyens, que tu atteignis assez facilement lors de ta puberté. Avec un style de combat unique, tu n’eus aucun mal à te frayer un chemin en tant que rookie, au point de pouvoir combattre quelques adultes sans être à la ramasse. Tu te fis de plus en plus connaitre, de nombreuses demande de recrutement de clubs affluent pour s’approprier tes talents et tes capacités. Sauf que tu ne combattais pas pour l’argent ni la renommée, simplement pour t’améliorer et l’amour de ce sport. Tu restas donc là où tu avais commencé, jusqu’au bout.

Tes parents étaient fiers de toi et te soutenais, bien qu’ils auraient par moment que tu orientes ta carrière dans une autre direction. Tu n’avais pas lâché l’école mais les cours te semblaient presque insignifiant face à ce que tu faisais en dehors. De plus, tu commençais à te faire connaitre par les amateurs et cela pouvait peser par moment. C’est à cette période que tu commenças à porter un masque et une casquette histoire que l’on te laisse en paix quand tu sortais avec tes amis. Ce fut une belle adolescence, sans que tu ne cherches à changer quoi que ce soit.

Le tournant de ta vie arriva lors de tes vingt et un ans. Tu explosais tous tes matchs avec des coups précis et rapide. Entre le In et Out-Fighter, tu prenais un malin plaisir à changer de style de combat pour correspondre à l’adversaire qui te faisais face. Et cela pouvait arriver en plein match si le timing l’exigeait. Avec cela, tu avais obtenu de nombreux titres, prix et trophées, dont celui de Champion National et Vice-Champion National de poids moyens. Tu envisageais presque de prendre une retraite pour ouvrir une salle et entrainer des petits jeunes afin de leur faire suivre ta voix. Néanmoins, ce ne serait pas cette année parce que tu étais prédisposé à participer aux Jeux Olympiques de 2016 et, ainsi, représenter la Corée du Sud avec quelques-uns de tes camarades.

La veille d’un match d’exhibition pour la sélection, il t’ai arrivé une mésaventure qui te marquera encore aujourd’hui, que ce soit physiquement et mentalement. De sortie avec ta copine de l’époque et un ami, vous vous êtes retrouvé dans un karaoké, dont vous avez écumé les chansons et à vous en casser la voix. Eux ont beaucoup bu et mangé, toi tu as du ne pas boire et ne pas manger trop pour éviter les problèmes de poids du lendemain à la pesée. Tu aurais dû aussi faire attention à comment se comportait ton groupe, cela aurait évité tous les désagréments qui se sont produits par la suite.

En sortant des lieux, ton ami, passablement très éméché, a cogné l’épaule d’un type peu recommandable qui se trouvait avec sa bande. Il ne sait pas excuser, targuant même que c’était de leur faute. Tentant de prendre sa place pour les donner, ton ami les provoqua en disant que tu étais un grand boxeur et que tu ne craindrais pas de tous les prendre même s’ils sont bien plus nombreux. Encore une fois, tu tentas d’excuser le comportement de ton acolyte mais le mal était fait. Ils avaient envie de se mesurer à toi maintenant, sauf que tu ne pouvais te permettre un tel écart.

Vous fûtes pris à partie, dans une ruelle assez éloignée des grandes rues bondés. Tu aurais voulu t’enfuir, courir aussi loin que possible mais tu ne pouvais laisser ta copine et ton ami prendre des coups gratuitement. Ce n’était pas la première fois que tu devrais désengager un conflit sans te perdre. Pas que tu es peur d’eux, bien au contraire. En tant que combattant professionnel, affronter des ‘’non-initiés’’ entrainerait un problème d’éthique et t’amènerait face à un tribunal assez facilement. Donc tu fis comme tu faisais à chaque fois, tu déviais leur coup et les envoyais dans le décor ou sur les autres. Tu arrivas à ne pas envoyer un seul coup et quasiment te défaire de tous.

- Franchement, on pourrait pas s’arrêter là ? Acceptez nos excuses et laissez-nous partir…

Derrière toi se trouvaient tes amis qui hochèrent la tête, un dégrisement rapide s’étant opéré durant l’affrontement. Face à toi, des essoufflements, des grognements te répondirent, alors qu’ils te regardaient tous avec une lueur mauvaise. Soupirant, tu finis par leur tourner le dos pour sortir de là, sans entendre un cliquetis. Ce furent les pas rapides qui te sauvèrent la vie. Un éclat brilla dans le coin de ton œil et tu détournas rapidement le visage pour éviter de prendre la lame qui t’était destiné. Malheureusement, elle laissa une entaille bien visible sur ta lèvre, du côté droit.

Légèrement surpris, et effrayé d’être passé pas loin d’une blessure plus grave, ce qui se trouvait autour de toi disparu, ne laissant que ton adversaire dans ton champ de vision. Lui agrippant le poignet, tu accompagnas sa course et sa chute droit devant toi. Sans que tu ne te rendes compte qu’il y avait quelqu’un d’autre sur cette lancée. La lame pénétra le flanc gauche de ta copine, s’enfonçant complètement jusque la garde. Un cri résonna à travers les ruelles alors qu’elle s’effondrait sur le sol, rendu inconsciente par la douleur. Face à cette vision, ton souffle s’accéléra, une douleur aigüe monta dans ta poitrine. Et tu perdis toi aussi connaissance.

Quand tu revins à toi, tu étais entouré de deux agents de police ainsi que des ambulanciers. Assis sur le sol, tu clignas des yeux rapidement pour tenter de reprendre tes esprits. De nombreuses douleurs s’emparèrent de ton corps, te faisant grimacer et savoir qu’il ne valait mieux ne pas tenter de se lever. Les plus intenses se trouvaient aux niveaux de tes mains. Quand tu portas ton regard dessus, tu te rendis compte de deux choses. La première était que des menottes enserraient tes poignets. La deuxième se trouvait sur tes mains. Celles-ci étaient couverte de sang et tuméfiés. Des flashs finirent par te revenir alors que tu examinais la scène autour de toi.

De ton groupe, tu étais le dernier, donnant l’espoir que ta copine se soit fait emmené rapidement à l’hopital. Quand à vos agresseurs… Tu n’aurais pu le dire à ce moment-là mais les voir étendu au sol, une majeure partie avec le visage écrasé et les côtes éclatés… Tu eux peur de les avoir tué. Pour l’un d’entre eux, cela à faillit être le cas mais tous ont simplement été classés en blessé grave. Ils sont quasiment tous passé en soins intensifs dans les hôpitaux. On te posa des questions et tu tentas de relater du mieux que tu pouvais comment s’était déroulé la soirée. Jusqu’à ton black-out.

C’est en cellule de détention que tu as enfin pu apprendre ce qu’il s’était pendant ton trou noir. Ce ne fut pas une inconscience à proprement parlé. Pour tout ceux qui étaient autour de toi, tu étais parfaitement conscient, bien que ta lucidité soit proche du zéro. Quand on a décrit comment tout cela s’était déroulé, un seul mot te parvint pour justifier un tel acte. Berserk. Comme dans les légendes, dans les jeux vidéo ou la pop culture en général. Un type qui ne ressent ni la peur ni la douleur, qui ne s’arrête de frapper uniquement que si il meurt. A voir ton état et celui des autres… Tu as du encaisser des coups avec de larges sourires et rire. Était-ce la vue du sang ? De l’acte de poignarder en lui-même ? Le fait que tu te sentes coupable a sans doute déclencher une fureur sans précédent.

Ce qui suivit ne fut qu’une longue chute dans les enfers. Bien que ce ne soit considéré que comme de la légitime défense, les coups et blessures ne pouvaient être impuni. Pareil pour le coup de couteau involontaire. Avant même d’être jugé et passer devant un tribunal, tu savais que ta carrière était terminé. Ton nom allait être trainé dans la boue, associez à des violences qui n’auront sans doute jamais existé… Les médias s’en donneront à cœur joie. Tu eus la chance que le procès ne soit pas médiatisé et simplement relayé par de petits journalistes sportifs. Ta disparition en troubla plus d’un dans le milieu, jusqu’à ce qu’ils fassent des recherches et apprennent ce que tu avais fait. Tu n’étais pas le premier mais chacun de ses actes devaient servir d’exemple pour qu’aucun ne soit légitimé.

C’est avec une âme vide et lointaine que tu entendis ton verdict. Cinq années d’emprisonnements. Il y eu aussi une amende pour les intérêts mais elle te semblait dérisoire face à ce pan de vie qui allait t’être retiré. Ton statut et la situation avaient joué en ta faveur, il est certain que tu aurais pu prendre bien plus. De plus, on t’assigna dans une prison à faible risque, où sont enfermé ceux qui étaient un peu comme toi, peu dangereux. Parce que oui, tu avais été jugé ainsi après avoir parlé avec un psychiatre, pour appuyer un peu plus ton affaire. Du prétendant aux Jeux Olympique, tu n’étais plus maintenant qu’un simple taulard…

La vie en prison ne fut pas des plus palpitantes. Chaque semaine, tu avais un rendez-vous pour discuter de ce black-out que tu avais eu. Vu que tu ne pouvais passer d’examen, il a été conclu qu’il s’agissait sans doute d’un réflexe du à ta profession et aux nombreux coups que tu avais pu prendre dans ta vie. Le reste de la semaine était rythmé par des entrainements pour garder la forme, de la lecture, un nouveau passe-temps dont tu n’avais pas le temps auparavant, ainsi du sport. Que ce soit basket, foot ou même tennis de table, tu t’acharnas à tester le plus de chose possible, pour tenter d’oublier ce qui se terrait en toi, d’éloigner cette fureur de la boxe.

Le problème fut qu’à ta sortie, tu ne savais pas quoi faire. Tu pus mettre un pied à l’extérieur au bout de deux ans, au lieu des cinq prévu, pour bonne conduite. C’est ton père et ta sœur qui vinrent te chercher, heureux que tu sois sortie. Tes parents se sont séparés en partie à cause de toi. Tu n’avais pas voulu rentrer dans les détails, tant tu ne savais pas quoi faire de ta vie. Tu passas un premier vide de sens, à chercher ce qui pourrait te faire du bien, maintenant que toute ta vie se trouvait lié à un passé de délinquant. Avoir un casier n’aidait pas beaucoup à trouver du travail.

Ta mère, qui était retourné dans son pays natal te trouva un entretien. Elle avait du jouer de toutes ses relations pour te l’obtenir. Elle ne t’avait pas vraiment demandé ton avis, te mettant simplement devant le fait accompli. Un poste de professeur de sport, au sein de l’école d’Indarë. Quand tu cherchas des informations suer ce lieu, tu te rendis compte qu’elle accueillait des enfants et des universitaires perdus ou ayant besoin d’une seconde chance, à cause d’un tournant dans leur vie ayant provoqué un trouble. Comme toi finalement.

Tu t’envolais donc pour l’Angleterre, un pays que tu avais eu l’occasion de visiter lors de tes matchs de boxe. Ta mère t’apprenait aussi l’anglais quand tu étais gamin, afin que tu puisses t’y retrouver à l’étranger si nécessaire. Tu la remerciais pour cela, ainsi que pour cette chance et cette espoir qu’elle te donnait. L’entretien se passa lors des Jeux Olympique, ceux que tu aurais du faire si tout ceci n’était pas arrivé. Pourtant, un bref instant, tu sentis le stade, les acclamations, les hourras à ton encontre. Mais aussi, les applaudissements et les remerciements pour tout ce que tu avais pu apporter à ce sport. Une nouvelle page se tournait et tu étais prêt à embraser cette nouvelle vocation.