Cordelia Calvelli

Ancien membre

Genre : Femme

Âge : 28

Taille / Poids : 1m76 / 65kg

Métier : Prof d'italien

Cordelia

Calvelli

25 ans

Né.e le 14/05/1996

Sexe F

Femme/Fille

Hétérosexuel/le

55 Scarsdale Villas

Origine : Italie

Nat. : Italienne

Castel

Prof d'italien

À l'Institution

Depuis 09/2017

Amnésique

Surnom : Cordy

CaractèrePassons à la partie que je déteste le plus. La personnalité. Je suis une personne qui sourit beaucoup mais je possède tout de même mon petit caractère. Si des paroles ou des gestes me dérangent, je n'hésiterai pas à le faire savoir. Et si mes mots ne suffisent pas, mes poings ou mes pieds se chargeront de faire comprendre les choses. Et si ça non plus ça ne fonctionne pas, je trouve une technique en traître. Je suis en général une personne aimable mais, parce que oui il y a un mais, je n'en reste pas moins susceptible sur certains sujets.

D'autres qualités que j'ai, ce sont sans doute mon côté joueur ainsi que ma loyauté envers les personnes qui le méritent et le reste je vous laisserai le loisir de le découvrir au fil du temps. Je suis aussi une personne plus ou moins patiente mais comme chez tout le monde, il ne faut pas en abuser. C'est le cas aussi pour ma confiance. Je l'accorde volontiers mais il faut la mériter et une fois qu'elle est perdue, il est difficile de la retrouver. Il arrive même qu'elle ne soit plus jamais accordée à certaines personnes.

Quant à mes défauts, je vous laisserai aussi en découvrir pendant que vous me côtoierez mais je vais citer les plus gros. La gourmandise. J'adore les glaces et dieu sait à quel point je suis contente quand je peux en avoir. Peu m'importe la réputation que ça peut me donner, dès que j'ai l'occasion d'en manger une, je le fais avec plaisir. Et puis de manière générale, j'aime manger tout court, peu importe la saveur à deux ou trois exceptions près. Le second est sans doute ma sensibilité. Certes cela peut être une qualité en fonction des situations mais dans mon cas, c'est plutôt un défaut. Surtout lorsque cela concerne mon passé. Etant en partie amnésique, je n'arrive pas à me souvenir de certaines choses et cela me dérange beaucoup. Ca me gêne au point d'en déprimer par moment.

Je ne vais pas dévoiler toutes celles que j'ai, ça ne serait pas amusant pour vous de les découvrir sinon, mais la plus grande peur qui me hante, ce sont les endroits clos. Je suis très claustrophobe. Si par malheur je me retrouve enfermée dans une pièce, un ascenseur ou tout autre lieu fermé, je panique. Ca m'est arrivée une fois dans une salle et je ne vous raconte pas dans quel état j'ai laissé les lieux lorsque j'ai enfin pu quitter ce qui avait été pour moi une prison.

PhysiqueYeux : Bleus
Cheveux : Blonds cendrés
Couleur de peau : Blanche
Taille : 1m76
Poids : Environ 65kg
Marques visibles : Un tatouage dans le dos & un tatouage sur le bas ventre à droite
Vêtements/style : Variable
Autre :

 
Mon corps semble frêle aux yeux des gens. En effet, je suis assez mince pour prétendre à une carrière de mannequin et beaucoup me croient aussi fragile qu'une poupée de porcelaine. Détrompez-vous, je ne suis certes pas aussi puissante que Hulk mais je ne suis pas faite en sucre non plus.

Mes yeux vous laisseront souvent croire que je suis une gentille fifille à sa maman et que je suis adorable. Ca peut être vrai mais ne vous fiez pas à 100% à mon regard innocent. Mes tenues vestimentaires sont assez variées. Je pense que tous les styles ont une certaine classe mais certains vont juste mieux à certaines personnes qu'à d'autres.

Oubliez le maquillage chez moi. Vous n'en trouverez pas. Je ne suis pas comme ces pisseuses qui croient que plus elles en mettent, plus elles sont jolies. Pareil pour le parfum. Ne comptez donc pas sur moi pour approcher une personne qui se serait vidé le flacon sur le corps. À moins de vouloir l'enduire de vomi. Ce n'est pas une simple image dégueulasse. C'est ce qu'il peut réellement se passer.

Histoire

Après le physique et le caractère, l'histoire. Pourquoi voulez-vous savoir autant de choses sur moi, vous êtes psy ? Non ? Alors vous êtes juste de vilains curieux qui espèrent que je satisferai vos envies intellectuelles. D'accord, d'accord je le ferai. Mais c'est bien parce que je suis adorable. *cache la poêle qu'elle a utilisée pour assommer le fou qui disait le contraire*

J'ai vu le jour à Milan, en Italie. Cependant je vis à Manchester depuis mes six ans. Ma mère est une photographe reconnue pour ses photos diverses et mon père, le chef de l'entreprise Calvelli. Tous deux m'ont toujours portée suffisamment d'attention bien que leurs métiers respectifs leur prenaient aussi du temps. Au début, c'était une nounou qui s'occupait de moi en journée quand mes parents n'étaient pas disponibles. Tandis que de mon côté, je commençais à suivre des cours dans une école privée jusqu'à ce que j'atteigne quatorze ans, l'âge où les hormones en pagailles commencent à nous faire faire tout et n'importe quoi. Vive l'âge bête.

Je n'ai pas fait exception à la règle. Je faisais l'école buissonnière, volais, faisais un peu trop la fête parfois. Même sans alcool on pouvait faire la fête je vous assure. Et un jour, ça a mal tourné. Tandis que je rentrais chez moi après une soirée, une voiture m'était rentrée dedans. Physiquement, je n'avais pas eu trop de dégâts. Une côte et une jambe cassées. Le plus gros souci fut psychologiquement. Cet accident m'avait mise quelques mois dans le coma et à mon réveil, je souffrais d'une amnésie partielle. Ce n'est pas toujours facile de vivre avec une partie de sa vie qui s'est effacée de sa mémoire. Et moi, j'avais assez mal supporté cette situation. C'est pour ça que je fus envoyée à l'institution Indarë pour finir ma scolarité. J'avais quinze ans à mon arrivée dans le groupe des Potions. Deux ans plus tard, j'avais pu aller à l'ISS avec les Traditions.

Dix-huit ans, début de la majorité et de la liberté pour la plupart. Ce fut mon cas. Enfin presque. J'avais terminé ma scolarité à Indarë et décidé de suivre des études pour devenir professeur et pour ça, je suis restée vivre chez mes parents.

Durant ma formation, j'avais fait la rencontre d'un jeune homme qui avait à peu près mon âge. Il avait deux ans de plus que moi en fait. Au début, nous nous entendions comme chien et chat. Notre quotidien en dehors des cours, c'était dispute sur dispute. Les insultes fusaient, les coups volaient aussi parfois. Pas très mature pour deux personnes qui voulaient enseigner plus tard. Puis petit à petit, nous nous étions rapprochés, apprivoisés et...bref je n'ai pas besoin de faire un dessin pour la suite. Tout le monde sait ce qu'il se passe généralement quand deux personnes se rapprochent vraiment entre-elles. Oui. Nous sortions finalement ensemble. Une relation cachée qui était devenue à découvert vers la fin de mes études. J'étais alors âgée de vingt et un ans. J'avais toutefois pris une année pour ma parfaire dans le domaine. Une année de stage pour avoir plus de pratique. La théorie et les quelques jours de mise en pratique c'était bien beau mais j'avais préféré rajouter une année où je ferais que de la pratique. Matthew avait déjà commencé à bosser dans le domaine et quand nous pouvions nous voir, il me donnait quelques conseils pour m'aider à m'améliorer.

Cependant c'est bien connu, toutes les bonnes choses ont une fin. Je n'avais pas échappée à la règle. Ma relation avec Matthew avait pris fin le jour où je l'ai surpris au lit avec une autre femme. Apparemment, une ça ne lui suffisait pas... Je n'ai jamais su depuis combien de temps durait leur relation et je m'en fiche toujours. Ma formation étant finie, j'avais décidé de prendre mes cliques et mes claques et de filer à Londres. Pourquoi cette ville ? La raison est très simple, je comptais postuler à l'endroit qui m'avait permis de mieux accepter mon amnésie. Septembre 2017, c'est à ce moment-là que j'ai pris mes fonctions. J'enseigne dans les deux établissements même si j'avoue me sentir mieux à l'IRS. C'est là où j'ai débuté à Indarë, là où j'ai repris confiance en moi et je sais ce que c'est que de vivre avec mental instable. Aujourd'hui encore je vis avec mon amnésie. Même si je l'accepte, il m'arrive encore parfois d'avoir un coup de blues par rapport à ma mémoire manquante.

C’est aussi à Indarë que j’ai retrouvé Ian Stevens. Un homme que j’avais connu durant ma scolarité, avec qui j’ai déjà couché et devinez quoi ? Nos retrouvailles ont été assez sportives si vous voyez ce que je veux dire. Au début nos relations étaient purement professionnelles et sexuelles. Puis au fil du temps, j’ai commencé à ressentir des sentiments pour lui et ce n’est que lorsque j’ai cru le perdre pendant l’ouragan Malon que j’ai vraiment réalisé à quel point je l’aimais. Je lui ai tout avoué. Et durant sa convalescence à l’hôpital, j’ai été ravie de savoir que c’était réciproque. Depuis nous vivons en couple. Venant de deux personnes qui ne voulaient pas ou plus vivre ça, ça tient du miracle.

En 2020, j’ai appris que j’étais enceinte. Ca s’est passé chez les parents d’Ian alors qu’à la base, nous nous étions rendus chez eux juste pour les présentations. Le 18 janvier 2021, j’ai donné naissance à une petite fille qu’on a appelée Mia. On voulait un prénom court, qui soit de plusieurs nationalités mais surtout qu’il soit facile à prononcer pour la mère d’Ian qui est japonaise. Celle-ci vient d’ailleurs régulièrement voir sa petite-fille, jouant aussi la baby-sitter. Ca me soulage parce que j’aurais eu bien du mal à confier mon enfant à un(e) parfait(e) inconnu(e). J’ai déjà eu du mal à supporter mon congé maternité alors je peux bien faire un petit caprice pour le baby-sitting de mon enfant. Depuis nous gérons notre vie professionnelle et personnelle, mélangeant parfois les deux lorsque Ian embarque Mia à l’institution même pour ses séances de psy. J’aimerais pouvoir faire pareil mais un enfant qui pleure durant un cours, ça le fait moyen… Alors à la place, lorsqu’elle est présente à l’institution – c’est-à-dire très souvent –, je profite de venir la voir durant mes moments de libre.