Mino Masaki

Ancien membre

Genre : Femme

Âge : 17 ans

Taille / Poids : 1m50 / 50kg

Classe : 4°A

Mino

Masaki

16 ans

Né.e le 30/10/2005

Sexe F

Femme/Fille

Bisexuel/le

P. Permanent

Origine : Japon

Nat. : Japonaise

Forge

Incarcérée pour tentative de meutre

Troisième année

Depuis fin Mai 2022

Bilingue anglais/japonais

Ambidextre

CaractèreAime : La couture, l'art, Monsieur Lapin
Déteste : les garcons, l'eau, la cuisine
Peurs/phobies : Aquaphobie (ne sait du coup pas nager)
Autre :
     
Extrême est le mot qui te définit le mieux. Il n'y a pas de demi-mesure avec toi, c'est toujours dans les extrêmes, que ce soit dans le positif, mais également (et d'une manière, plus souvent) dans le négatif. C'est l'un de tes plus grands problèmes, ce sont des émotions qui te contrôlent, et pas l'inverse. En théorie, tu es une fille gentille et attentionnée, plutôt bon vivant et de bonne humeur. Alors oui, tu es possessive sur les bords... bon, pas que sur les bords. Après tout, ce sont tes amis, pas ceux des autres, pas vrais ? Dans le bon coté des choses, tes amis c'est à la vie, à la mort (et plus littéralement qu'on le pense), et tu les défends becs et ongles et toujours la pour eux (même si ça n'est pas toujours une bonne nouvelle...).

Tu adores l'art, la musique, la peinture... tu pourras en parler pendant des heures. C'est ta véritable passion, peut être ton futur métier, qui sait ?

Mais bon, ton vrai problème, c'est que tu es instable, explosive. D'une certaine manière, la violence n'est pas une solution, mais la solution. Violence verbale, souvent, mais elle n'est pas rare qu'elle devienne physique. Et même si maintenant tu travailles pour améliorer tout ceci... ça ne reste pas facile du tout de te contrôler. Parfois ta colère est dirigées contre ta propres personnes, ce qui peut provoquer de l'autodestruction (rarement physique, heureusement). Une simple dispute avec tes amis peut prendre des proportions gigantesque pour toi.

Et c'est encore pire avec les garcons, tu es une véritable misandre qui les déteste presque à vue. Ton père à laisser sa marque. Ca n'est pas impossible que tu ai des amis garcons, c'est par contre beaucoup plus compliqué. Tu ne leur fait pas confiance. Tout est démultiplié avec eux.

Les points particulièrements sensibles ? Ta peluche, parler de ta petite  taille, dire que tu es colérique... Et dans les très mauvais jours, littéralement tout.

Tu as une (relativement grosse) peluche, Monsieur Lapin, que tu trimballes toujours avec toi (souvent planquée dans ton sac). C'est ton talisman, ta bouée que tu sors quand ça ne va pas, et la chose la plus précieuse qui existe à tes yeux. Elle a été offerte par ta mère, et gare à ceux qui ose s'en moquer, ou pire, l'abimer !

PhysiqueYeux : Brun (porte des lentilles jaunes)
Cheveux : Blond, pointe arc en ciel (coloration)
Couleur de peau : Blanche
Taille : 1m50
Poids/Morphologie : 50kg
Vêtements/style : goth loli
Autre :

Tu détestes qu’on dise ça à haute voix, mais tu es une petite blonde. Et comme tu complexes un peu par rapport à ta taille, une fois libérée de l’uniforme de l’école, tu t’empresses de porter des bottines avec des semelles compensées afin de gagner quelques précieux centimètres. De manière générale quand tu n’es pas en uniforme, c’est une tenue reconnaissable à des années-lumière que tu portes, une véritable tenue de goth loli : robe noire (ta couleur favorite), gants noirs, collant noir... ça n’est pas toujours pratique, mais tu aimes bien ça et tu te sens bien ainsi, donc c’est le plus important. Ta peluche - monsieur Lapin - porte également une petite robe noire. Tu attaches tes très longs cheveux (ils t’arrivent jusqu’à la taille) uniquement quand c’est nécessaire.

Tu es à l’aise dans ton corps, souple, doué de tes doigts et relativement minutieuse. Tu serais plus stable tu serai douée en danse et en gym. Tu as également la chance d'avoir une jolie voix, mais comme tu es souvent en colère...

Histoire

Commençant par le début, quand tu étais vraiment petite. Tu es japonaise de naissance, née dans une famille que l’on peut considéré comme favorisé. Tu es fille unique, et tu ne manquais pas vraiment de grand-chose. Tes parents étaient présents, aimants. Bref, la belle vie. Tu étais légèrement turbulente, sans plus. Mais tous les enfants le sont au moins un peu.

C’est toutefois un trait qui n’a pas disparu avec le temps, et qui au contraire s’est renforcé quand tu as commencé à avoir l’impression qu’ils n’étaient pas autant présents qu’ils pourraient l’être. Tes géniteurs ne te délaissaient pas vraiment, mais ils semblaient plus intéressés par leur travail que par ta personne. Tu avais l’impression de manquer d’attention, alors tu commençais à multiplier les bêtises. D’abord à la maison, mais ensuite en dehors. Quelques bagarres à l’école, par exemple. Tu te souviens encore de la première fois où ils étaient venu te chercher au poste, tu avais piqué quelque chose dans un magasin, tu devais avoir quoi... onze ans ? Alors oui, ils t’avaient passé un sacré savon, mais tu étais, à ce moment-là, au centre de leur attention. Ça a dû également les inquiéter, car ils s’étaient bien occupés de toi pendant un petit temps, et tes penchants étaient retombés... avant de retomber dans les mêmes travers, pour toi comme pour eux.

Le déménagement en Angleterre - vers tes douze ans - n’a fait qu’empirer les choses. Tu t’es extrêmement mal adaptée à ce nouvel environnement, et le divorce qui a suivi deux ans après... tu en veux toujours à ton père de t’avoir empêché de rester avec ta mère, avec qui tu étais pourtant bien plus proche (malgré tout les problèmes). Au moins tu as gardé un de ses cadeaux, ta précieuse peluche, "Monsieur Lapin".

Tu nécessitais désespérément une aide que ton père ne t’a pas accordée. Enfin... au bout d’un certain temps, il a décidé de prendre les choses en main, à sa manière. De simples règles, pour commençant, que tu suivais selon tes humeurs. Alors quand ça ne marche pas, on serre la vis. Si avant, ta chambre était ton endroit de tranquillité, la situation a fini par s’inverser, au point que tu faisais tout pour passer le plus de temps dehors avec tes amis (même si tes sautes d’humeurs rendaient parfois les choses difficiles).

Maintenant, on arrive à ton seizième anniversaire. Le cadeau de cette année ? Une interdiction pure et dure de sortir de la maison familiale. D’un certain côté, c’était efficace, tu ne causais plus de problème à l’extérieur, et tu continuais de suivre les cours à distance. Puis d’autres restrictions sont apparues, avec comme conséquences d’avoir de moins en moins de contact avec l’extérieur. Si petite tu rêvais d’être une princesse, tu ne pensais pas que tu allais finir comme certaines princesses Disney qui sont enfermées chez elle, coupée du monde. D’abord résignée, tu as fini par voir une solution (que tu t’efforces maintenant d’oublier), puis une autre.

Tu ne sais pas qui a appelé la police, mais ils sont arrivés au bon moment pour sauver ton père. Tu as sans aucun doute déversé la haine que tu avais accumulée contre lui dans ton acte de violence.

Tu sais que lui aussi à une condamnation, lui aussi n’est pas tout blanc dans cette histoire. Tu as oublié ton nombre précis d’années, mais on t’a dirigé vers une école spécifique pour les "cas comme toi". D’une certaine manière, tu t’en sors bien. L’adaptation a été compliquée, les anciens travers sont toujours présents, mais tu as (enfin) de l’aide pour travailler sur tout ceci.

Commentaires/précisions : Hellow !
Ici Hadrydry / Maya / Didi / autre (ca dépend des endroits), fan de jeux (de plateau, société, vidéos et de role) et de musique. Ravis de vous rencontrer