Famille : Père (défunt) Suika Miyake (Mère) Ichigo & Jiro Miyake (frère) Boqin et Jun'ichiro Miyake (ascendants)
Pays d'origine : Japon
Nationalité : Britannico-japonaise
Messages : 93
Date d'inscription : 08/06/2022
Couleur(s) de parole : #990033
09.06.22 1:21
Niko
Miyake
15 ans
Né.e le 03/11/2006
Sexe F
Femme/Fille
Semainier
Origine : Japon
Nat. : britanno-japonaise
Gifted
danse classique chinoise
Deuxième année
Depuis septembre 2021
ambidextre.
Ken est son tamagotchi.
CaractèreVision des autres : ni mauvaise ni bonne, la même vision que l'on porte à des pnj aux premiers abords. Vision de soi : elle s’estime capable de grande chose pourvu qu’elle s’en donne les moyens. De ce fait, elle a confiance en elle. Attitude/Comportement : elle fait preuve d’une certaine civilité envers son entourage tout en gardant une distance raisonnable avec l’inconnu et témoigne d'une fréquente droiture envers les règles. Aime : repasser des vêtements, les marshmallows grillés, l'ancien, collectionner des rubans pour cheveux. Déteste : La saleté, le manque de savoir-vivre, les nuisances olfactives. Manies: secouer sa main de gauche à droite quand elle dit « non » ou « ok » Centres d'intérêts : se trouve en première place la danse classique chinoise, en deuxième place la lecture et enfin le shopping pour troisième place. Peurs/phobies : à l'exclusion des portes ouvertes dans la nuit, elle n’a pas de phobie ni de peur notable. Passion/Rêve : si elle n’a pas de rêve à proprement parler, hormis l’objectif d’être reconnue pour ses capacités, elle aspire à mener une vie comme elle l’entendrait et de ce fait : être indépendante. Autre : il semble qu’elle ait parfois un problème avec le progressisme. Elle aime également porter des chaussettes sur lesquelles sont inscrits les jours de la semaine.
Elle est courtoise. Assez pour faire de son prénom un synonyme de « civilité ». Un peu trop pour certains, d’autres vantent ce trait comme une qualité estimable. Faisant preuve d’une politesse -d’ordinaire- quotidienne et donnant l’impression d’être constamment encline aux services, il lui est arrivé d’entendre qu’elle est une enfant parfaite, surtout de la part des grands-parents. . Tout ce qu’il fallait pour faire devenir vert de jalousie ses camarades et par conséquent, perdre ses supposés amis en gagnant le cœur d’un ancien. Dix de perdus un de retrouvé, si ce n’est pas productif ça. Peu fouineuse à l’accoutumée, se mêler des affaires d’autrui, ce n’est pas sa tasse de thé. De quoi détourner les yeux si confrontée à une situation cocasse ou enjamber un individu qui se ferait martyriser. Pas de chance, madame est atteinte d’une surprenante myopie, sélective semble t-il. En clair : face à des brutes, ne compter sur elle que comme l’on compte sur une peluche qui traîne depuis belle lurette sur un canapé et qui ne fait rien d’autre que constater combien votre chambre tombe en ruine et vos vêtements dépeignent d’un manque cruel d’élégance au fur et à mesure que les années viennent à s’écouler. Les problèmes, c’est non merci.
Pas sûr que faire preuve d’une telle insensibilité parvienne à contribuer à son image, mais il semblerait que mademoiselle s’en moque et offre uniquement les services mentionnés sur un contrat illusoire qu’elle octroie à toute nouvelle connaissance entrant dans sa vie. Pourtant, il lui arrive de faire quelques exceptions pour des motifs déterminés : des desseins lucratifs ou -dans de rares cas- à tendance affectifs. Ainsi donc elle donne, mais s’attend à recevoir en retour.
Quoique l’on puisse par moment en douter pour les plus emphatiques et les mauvaises langues, elle reste une humaine sans le moindre trouble antisocial - du moins qui n’a pas encore été détecté- et sait apprécier son plus proche entourage très restreint, naturellement distante malgré son amabilité civile. Parce que son emploi du temps le refuse tout autant que son amour pour la quiétude, elle ne compte chez ses pairs que très peu d’amie, se centralisant sur sa scolarité et sa propre réussite, forgée pour être volontaire, travailleuse, mais aussi pour savoir se protéger seule des obstacles, notamment relationnels.
En clair, elle n’est pas réellement détestable et penche bien plus sur la complaisance sans le faire véritablement. Peu intéressée par autrui, elle fait de son propre bien-être sa priorité même si cela nuit quelque fois à celui de ses homologues et fait donc preuve d’une certaine sécheresse par occasion. Malgré tout, il lui arrive d’être bel et bien sympathique -même amusante, si si- même si cela prends parfois du temps si une tête ne lui revient pas et d’enfin approuver quelques sorties en bonne compagnie.
PhysiqueYeux : Bruns. Cheveux : Bruns. Couleur de peau : blanche. Taille : 168 cm. Poids/Morphologie : 53 kilos, athlétique. Traits du visage :Visage rond vaguement joufflue, enfantin. Vêtements/style : Ordinairement coquet. Autre : chevelure incessamment nouée par des rubans généralement rouges mais il arrive que cela varie.
Histoire
Famille : Dans la famille Miyake, on y trouve le patriarche, un certain feu Toshi Miyake, fils de Jun’ichiro et Boqin Miyake, à contrario de leur fils aîné toujours de ce monde. Fils qui épousera dans sa quarantaine Suika Miyake anciennement Takaoka et qui lui donnera son troisième enfant, les aînés étant Ichigo et Jiro Miyake. Quand bien même l’amour avec un grand A n’est pas au rendez-vous, la famille reste devant le monde solidaire, les affaires de familles restant dans le privé. Classe sociale/Environnement :La famille Miyake appartient à la classe supérieure, faisant de la petite dernière une enfant née avec une cuillère en argent. Bien que descendant d’une famille où le choix s’opère entre la médecine et la politique, Toshi bouleversera les accoutumances en fondant une société de jeu pour adulte dans un pays où explosera plus tard la vente de ces outils récréatifs. En plus de son propre succès professionnel, Suika, plus connue sous le pseudonyme « Hakuseki » (précieuse pureté) pour la préservation de sa vie personnelle, a su en atteignant la renommée, se faire sa propre fortune et contribuer de ce fait à l’extension de l’opulence de la famille. Événements marquants : L'évènement le plus marquant de sa vie si l'on peut dire ça est le décès nébuleux de son père, lorsqu'elle se trouvait encore loin de la maison familiale. Elle aurait pu se passer de la médiatisation qui ne lui pas réellement plu. Vie sentimentale :Encore faudrait-il qu’elle sache ce que ça veut dire. Plus sérieusement, pour des raisons personnelles -pas le temps, pas l’occas’-, elle n’a jusqu’ici jamais éprouvé un quelconque sentiment amoureux pour autrui.
3 novembre 2006. 21 heures. Niko Miyake, fille de Toshi Miyake, fondateur d’une société de jouet pour adulte et de Suika Miyake, actrice de film pour adulte, vient au monde. On donne à son nom les kanji de « vertu » et de « fille », ce qui semble à première vue ironique de leur part pour beaucoup des membres de la famille. Mais qu’importe, le couple sait déjà ce qu’il veut pour leur enfant. Seule enfant de Suika, mais troisième enfant de Toshi, on espère pour elle un train de vie plus flexible que celui de ses aînés. Il n’en est rien et pour cause : chez les Miyake, on aime le labeur. Naître le jour de la culture n’aide pas non plus pour la demoiselle que l’on éduque avec rigidité.
Dès son plus jeune âge, on lui apprend à savoir se tenir et être courtoise. Être l’enfant d’une célébrité internationale récompensée pour ses prouesses charnelles lui vaut bien souvent des regards critiques et des messes basses qui nécessitent d’être tus par un comportement irréprochable. Ceux-ci sont parfois proférés par son propre frère aîné qui n’a jamais vu d’un bon œil l’union de son père à sa belle-mère. C’est pourquoi il n’est pas étonnant de trouver au sein du foyer de nombreuses tensions quasi-palpables. Si cela la touche, elle n’en dit rien et ne le démontre pas, sa mère s’assujettissant à faire d’elle un véritable rempart pour elle-même. Visiblement, cela marche : Niko devient avec le temps l’enfant idéale inattaquable malgré la dégradation flagrante de la relation qu’entretiennent ses parents.
C’est à l’âge de quatre ans qu’elle débute la danse classique, selon le souhait de sa mère qui souhaite dans un premier temps lui apprendre la grâce et l’élégance. Sa souplesse et son inventivité lui valent très rapidement d’être qualifiée d’enfant au chemin tout tracé, ce qui pousse ses parents à la faire continuer et la contraindre à redoubler d’efforts. Néanmoins selon un choix de la grand-mère, descendante de l’ethnie chinoise Yi, on troquera la danse classique pour la danse classique chinoise, ce qui créera davantage de conflit entre la mère et sa belle-famille qui ne se sont jamais entendu et cause alors une véritable discorde dans le couple. Après avoir réussi son audition de danse, elle intègre une école religieuse indépendante en Amérique dès l’école élémentaire et y apprend plus intensément l’anglais. La rudesse des études lui vaut parfois l’occasion de regretter son foyer, non pas pour retrouver sa famille mais pour sa tranquillité. Elle continue toutefois de se perfectionner dans ce nouvel art qui lui semble bien différent de la danse classique et bien plus dure. En 2019, elle parvient à se dégoter une place dans le concours international de danse chinoise junior et remporte la troisième place, ce qui lui semble être un échec cuisant.
Mais en 2020, elle remporte cette fois-ci la deuxième place. La troisième fois, elle en est sûre ça sera la bonne. Si la satisfaction est omniprésente, en automne le décès prématuré de son père survient. Elle apprendra plus tard que cela serait de la légitime défense à la suite d’un conflit musclé entre ses parents. Si ses ascendants sont convaincus que ce n’est pas vrai, la justice jugera Suika non coupable. Possible, est-il que cela résulte de la véracité des dires de Suika, ou peut-être tout le contraire. En tous les cas, la demoiselle ira dans le sens de sa mère et ne s’impliquera pas davantage, la médiatisation suffisant déjà bien assez à son mécontentement. Lors de l’héritage, les fils reçoivent l’entreprise comme convenu tandis qu’elle héritera d’une importante somme d’argent qu’elle ne pourra toucher qu’à la majorité ainsi que du matériel. Quant à sa mère, elle hérite du reste : leurs propriétés.
Au fur et à mesure du temps, l’histoire se tasse. Un dissentiment considérable s’accentue entre la belle-famille et la mère, la jeune fille fait désormais office de bien à se disputer. À la suite d’une discussion, sa fille prend la décision de quitter son académie, lasse de devoir supporter ses camarades et décide de postuler à Indarë qui lui semble bien plus avantageux et propice à un nouveau départ. Elle parle couramment l’anglais, est britannique de par son père, tout ce qu’il faut pour s’en aller. Elle s’en va donc durant les vacances loger chez ses grands-parents qui seront désormais ses hébergeurs. Bien qu’elle soupçonne un désir de représailles de leur part à l’encontre de sa mère, Niko profite des avantages que ça lui apporte, comme Suika le lui a appris à faire.
Pseudo : Seagull
Âge : Majeure
Lecture 18+ : Oui
Commentaires/précisions :
Nia Calaway
Nia Calaway
Nia Calaway
Londres |:| Mécanicienne
Genre :
Sexe :
Age : 23
Date de naissance : 07/05/2000
Taille / Poids : 1m73 // Inconnu
Orientation sexuelle : Hétéro
Situation amoureuse : En couple avec Nick ♥
Pays d'origine : Angleterre
Nationalité : Anglaise
Messages : 304
Date d'inscription : 14/04/2022
Couleur(s) de parole : #ff3333
09.06.22 1:30
Bienvenue !!
Ton avatar a une bouille trop mignonne, elle donne envie de lui faire des câlins =3