Cybelle Luper

Ancien membre

Genre : Femme

Âge : 17 ans

Taille / Poids : 1m68 / 50kg

Classe : 3°B

Cybelle

Luper

17 ans

Né.e le 31/10/2005

Sexe F

Femme/Fille

Elle se plonge dans son petit monde quand elle est seule.

P. Permanent

Origine : Irlande

Nat. : Germano-Irlandaise

Potion

Interné.e pour TCA [Anorexie](séjour de 3 mois), Tentative de suicide + TCA (6 mois). Signalé.e Dépressive avec phobie de l'abandonet troubles anxieux. Risque de récidive

Troisième année

Juillet 2023

Elle a toujours voulu un chat, mais elle y est allergique.

Elle aime le rose, le noir et le violet.

CaractèreVision des autres : Méfiante, discrète, un peu fuyante.
Vision de soi :Aucune confiance en soi, n’aime pas son apparence, se pense bonne à rien, auto-destructrice.
Attitude/Comportement : Fuyante, timide, anxieuse, méfiante.
Aime : Les chats (de loin), l’odeur de la pluie, la violette, l’art gothique ;
Déteste : Elle, les foules, ce qui est épicé, la solitude.
Manies/tics : Repousser sa frange, se mordre la lèvre, taper du bout du pie sur le sol, se frotter le bras.
Centres d'intérêts : Dessin, chant, danse, écriture, lecture, seule si possible.
Peurs/phobies : Astraphobe (Orage), Arachnophobe (Araignée), Agoraphobie (Foule). Peur des autres et de leurs réactions. Peur de l’abandon. Trouble de l’anxiété.
Passion/Rêve : Ses passion ; le dessin et l’art. Elle trouverait cool d’en faire son métier, mais des rêves, elles n’en a plus vraiment pour le moment.
Autre : Elle stress et angoisse tellement qu’elle a fréquemment des ulcères à l’estomac

Cybelle a toujours été une jeune fille calme, le genre que l’on peut facilement oublié dans un coin de la pièce. C’est une jeune femme qui cherche à maintenir la paix autant que possible. Un demoiselle très douce qui fera preuve de tendresse envers ses proches et envers les animaux. Généreuse au plus profond d’elle, elle a pourtant appris à se méfier et à simulé un certain égoïsme pour se préservée. Quand elle désire quelque chose, elle peut se montrer très patiente pour cela… en tout cas, quand elle ne se laisse pas dominée par ses émotions. Il faut dire qu’elle est hypersensible, alors elle n’a pas beaucoup de contrôle sur tout ça.
Depuis qu’elle est toute petite, Cybelle a une imagination débordante et sa grand-mère a toujours it qu’elle avait une âme d’artiste. Il faut dire qu’elle se montre très absorbée quand elle se lance dans un projet créatif. Enfin, c’est surtout avec le dessin, la peinture et l’écriture qu’elle se montrera véritablement passionnée. C’est sans le moindre problème que notre demoiselle se montrera autonome, elle se sentira même plus à l’aise quand on lui laisse cette autonomie. Pour autant, cela n’empêche pas son esprit de fourmiller de milles idées, ce qui la rend très distraite et le meilleur moyen qu’elle ait trouvé contre ça, c’est la musique. Elle adore la musique, toutes sortes de musique et elle a toujours son MP3 sur elle, portant la plupart du temps au moins un de ses écouteurs.
Cybelle est une jeune femme curieuse, elle adore apprendre et découvrir de nouvelles choses.  « Toute connaissance est bonne à prendre. » Cependant, ses connaissances ne l’empêche pas d’être crédule, voir même franchement naïve et cela s’est déjà retourner contre elle plus d’une fois. C’est probablement pour ça qu’elle préfère être silencieuse et effacée, ne laissant que peu de point d’accroche à des harceleurs potentiels. Agir ainsi n’est pas bien difficile puisqu’elle est timide à s’en rendre malade. Pourtant, il n’y a rien qu’elle déteste plus que la solitude… Ce qui peut-être compliqué puisque ce qu’elle a vécu l’a rendue assez associable.
Même si elle a du mal à le croire venant des autres, elle fera tout son possible pour se montrer juste et loyale. Autant que possible, elle se montrera aussi honnête que possible. Il faut savoir que Cybelle est romantique et crois en l’amour avec un grand A, même si rares sont ceux capables de le trouver. Alors, c’est autant en amour qu’en amitié qu’elle se montrera jalouse et possessive, doutant que les autres soient aussi fidèles qu’elle ne puisse l’être.
Oui, maintenant, des doutes, Cybelle en a énormément. Elle a beaucoup de mal à prendre une décision, se montrant hésitante et incertaine, se laissant dominer par ses peurs ; Certains pourraient même la traiter de lâche. Pourtant, pour elle, ce n’est pas de la lâchetés, juste de la prudence. Après tout, ce qu’elle a vécu jusque maintenant a fait d’elle quelqu’un de désabuser et de décourager. Elle n’arrive plus à avoir confiance en rien du tout, encore moins en elle ; Bien sur, elle se méfie donc de tout le monde et accorde très difficilement sa confiance. Il est aussi très facile de la perdre. Ne vous attendez pasà la voir sourire ou se réjouir. Il en faut beaucoup pour ça, puisqu’elle est devenue assez blasée. En fait, vous la verrez beaucoup plus facilement anxieuse, voir même en pleine crise d’angoisse. Elle fait son possible pour ne pas afficher son mal être, quitte à paraître renfermée, réservée ou même secrète. Alors qu’en fait, elle sera souvent dans des moments de cafard, voir même de dépression pure.
La plupart du temps, elle cherchera à oublier ses difficultés, mais c’est compliquer. Surtout que, susceptible comme elle est, il suffit d’une simple remarque pour qu’elle replonge.

PhysiqueYeux : Violet, en apparence, mais il peuvent oscillé du bleu au gris
Cheveux : Noir ébène
Couleur de peau : Blanc très pâle
Taille : Légère, en dessous du mètre soixante dix.
Poids/Morphologie : Mince… non, maigre ! Un vrai sac d’os.
Traits du visage : Doux, visage ovoïde, cils épais.
Marques visibles : Piercing à la lèvre, cicatrices au poignet gauche.
Vêtements/style : Style punk/gothique, maquillage sombre. Couleur noir, blanc, violet et rose. Toujours un bonnet à oreilles de chat noir.
Autre : Elle a toujours son lecteur MP3 sur elle et au moins un écouteur dans l’oreille.

Cybelle est une jeune femme de taille moyenne, cependant, elle est extrêmement maigre et, suite aux privations qu’elle a fait subir à son corps, elle n’a que très peu de formes. Toujours à cause de ses privations, elle n’a pour ainsi dire aucun muscle et sa peau est très pâme, presque diaphane.
Son poignet gauche est toujours couvert d’un bandage pour cacher les cicatrices qui s’y trouve.
Son visage a une forme légèrement ovoïde avec des oreilles et un nez assez discret. En revanche, il s’y trouve de grands yeux aux cils déjà bien  fournis, mais qu’elle a tendance à farder de couleurs sombres. Ses pupilles paraissent d’un éclat violet…  Simple effet d’optique ? Elle n’en sait rien, d’ailleurs, elle ne s’en soucie pas vraiment.
Cybelle a les cheveux noir comme l’ébène. Ils lui arrivent environs sous les omoplates. La plupart du temps, elle se contente de les laisser libre au vent ou de les réunir en deux tresses. Une frange régulière masque son front sans pour autant cacher son regard.
Sa bouche serait assez discrète s’il n’y avait cet anneau qui la transperce et que, probablement, personne n’arrivera à lui faire enlever.
La plupart du temps, elle portera un empilement de débardeur ou un simple haut à manche très longues. Toujours dans les gammes de noir, blanc, violet ou rose. Généralement, elle y ajoute une veste au manche trois-quart ou, quand elle n’a pas le moral, un hoodie à capuche noir. Ça, bien sûr, quand elle ne porte pas son uniforme. En revanche, uniforme ou pas, elle portera toujours une mitaine rayée de noir et de blanc à sa main gauche et un bracelet de mousse rose ou noir de l’autre.
Cybelle supporte difficilement les jupes, alors, quand elle dois en porter une, elle enfilera toujours un pantalon slim en-dessous, peu importe la longueur de la jupe. La plupart de ses pantalons sont près du corps et ne laisse aucun fragment e ses jambes visibles. Dans sa poche se trouve toujours un lecteur  musique dont le fil s’était jusqu’à un écouteur dans son oreille. Aux pies, elle porte toujours des dr. martens ou des baskets. Enfin, sa tenue se complète par un sac en bandoulière noir garni de quelques dessins en blanc.
Pour les derniers détails, elle se maquille les yeux pour les faire ressortir encore plus. Il lui arrive de se vernir les ongles, toujours avec ses couleurs fétiches.

Histoire

Famille : Abandon du père. Rejet par la mère. Très proche de sa grand-mère.
Classe sociale/Environnement : Sa grand-mère est assez aisée mais n’a jamais permit à sa mère d’accéder à cet argent si facilement.
Enfance : Enfant non désirée. Confiance difficile. Pleine de complexes. Grand-mère protectrice.
Adolescence : Critiques maternelles. Accentuation des complexes. Début des angoisses. Dépression. Apparition de TCA (anorexie).
Événements marquants : Harcèlement (scolaire + dénigrement maternel). Dépression. TCA (anorexie). Hospitalisation. Rechute. Tentative de suicide.
Vie sentimentale : Néant

L’histoire de Cybelle commence bien avant sa naissance avec une femme qui avait toutes les peines du monde à responsabiliser sa fille. Cette dernière était adulte, mais ne pensait qu’à s’amuser. Ainsi, un jour, elle tomba enceinte et le père, aussi peu responsable qu’elle, lui imposa l’avortement sous peine de la quitter. Cependant, il ne fallait pas compter sur lui pour le soutiens moral ou physique, ils n’habitaient même pas ensembles en plus !
La mère de Cybelle se tourna alors vers sa propre mère qui accepta de l’aider pendant les premières années de l’enfant, mais refusa tout net de la garer chez elle si elle mettait fin à la vie de l’enfant. Pour la femme, l’avortement était comme un meurtre et sa fille devait maintenant prendre ses responsabilité… ou se retrouver à la rue.
Ainsi, quelques mois plus tard naquit Cybelle – nom choisi par sa grand-mère -, une enfant non désirée que sa mère se promis de ne jamais aimer.

« Laisse la crier, ça lui fera les bronches. »

Autant dire que sa mère n’était pas la plus attentive à ses pleurs et elle pouvait rester des heures à pleurer avant d’être nourrie ou changée. Sa mère trouva du travail, plus pour ne pas avoir à passer ses journées avec elle qu’autre chose, mais soit.
A partir de là, sa grand-mère venait s’occuper d’elle tous les jours, c’est elle qui lui appris à marcher et à parler, iansi que commencer à lire. La semaine, elle vivait une belle vie, mais en soirée et le week-end, l’enfant était gravement négligée. Pour autant, la grand-mère ne perdait pas espoir que sa fille se reprenne.
Le temps passa et malgré les efforts de son aïeule, Cybelle grandit avec un trouble de l’affection et des difficultés pour socialiser.

 « Tu n’as pas intérêt à me décevoir et gare à toi si on m’appelle. »

Cybelle avait des vêtement neufs et un sac à dos, tous deux payer par sa grand-mère. C’était son premier jour d’école quand sa mère lui dit ça et, aussitôt, celle-ci se dit que, peut-être, si elle était une bonne élève et qu’elle n’était jamais malade, peut-être, sa mère commencerait à l’aimer ?
Et elle commença à travailler dur, mais cela ne semblait jamais être assez pour sa génitrice. Même malade, l’enfant insistait pour aller en cours et ne pas être envoyée à l’infirmerie. Ce comportement fut le déclenchement des premières moqueries… Jusqu’à ce qu’on s’en prenne physiquement à elle. Elle se défendit et sa mère fut convoquée.

 « Tu n’es vraiment qu’une perte de temps. »

Cybelle devait se rattraper. Elle commença à se faire de plus en plus discrète, échappant aux bousculades, mais pas aux mots. Elle s’assombrissait, mais ne désespérait pas encore que sa mère finisse par l’aimer. Et puis, le week-end, elle allait voir sa grand-mère qui la chouchoutait et lui faisait des cadeaux, cela lui faisait du bien.

« Elle t’a encore emmenée manger dehors ? Tu vas devenir énorme ! Tu prends déjà trop de place... »

Ah bon ? Elle était trop grosse ? d’accord, elle allait maigrir alors. Elle commença par sauter un repas, puis deux, puis trois. La perte de poids fut fulgurante et elle avait sauté à pieds joints dans le gouffre des TCA. On commença rapidement à la traiter de sac d’os et elle pris la décision de ne plus aller voir sa grand-mère. Elle ne voulait pas l’inquiéter, mais elle ne pouvait pas faire marche arrière.
Bien sûr, cela eut l’effet inverse et, après quelques annulations de la part de Cybelle, elle vint elle-même leur rendre visite et constata l’état désastreux de sa petite fille. Elle l’emmena aussitôt à l’hôpital.

« Oh, ma chérie. Ma pauvre chérie. J’aurais dû le voir bien plus tôt. »

L’hospitalisation fut longue et difficile, mais peu efficace, car Cybelle ne se considérait pas malade. En revanche, elle se considérait détruite. Tout ce qu’elle avait toujours fait pour l’amour de sa mère n’avait servi à rienn, elle n’aurait jamais cet amour.
Quand elle pu sortir, suite à une rémission fragile, sa mère avait perdu sa garde et elle avait été confiée à sa grand-mère. La vie était plus douce, mais l’état mentale de Cybelle était très fragile. Alors, lorsque le harcèlement recommença dans sa nouvelle école et elle replongea dans son TCA, cachant sa maigreur sous des vêtements amples et trop larges. Son esprit sombra cependant encore plus profondément, allant jusqu’à ce qu’elle tente de mettre fin à ses jours.

« Il faut que tu guérisse. Si tu ne le fais pas pour toi, essaie de le faire pour moi. »

Son aïeule l’avait trouvée dans une eau rougie et l’avait aussitôt emmenée à l’hôpital où ils avaient constaté sa rechute également. Encore une fois, on l’interna, lui interdisant toute visite. Ce fut un enfer pour elle, en tout cas, jusqu’à ce qu’on lui promette une visie de sa grand-mère su elle prenait du poids. Si elle ne mangeait pas avec envie, au moins, elle se nourrissait.
Quand on évoqua son retour à la maison, ce fut avec une obligation de surveillance et des documents au sujet d’Indarë Reformatory School et de son cycle Potion, ainsi que de la nécessité d’un redoublement puisqu’elle n’avait pour ainsi dire eut aucun cours cette année là.

 « Je t’en prie, ne m’abandonne pas ! »

Convaincre Cybelle ne fut pas si facile, elle ne voulait pas s’éloigner de sa Grand-mère qui était, selon elle, son seul point d’attache. Elle craignait plus que tout de se retrouver seule. Cependant, c’était pour son bien, elle devait se reconstruire. Alors la vieille femme lui promis qu’elle pourrait l’appeler quand elle le voudrait et qu’elle lui rendrait visite aussi souvent que possible et qu’elle le pourrait.
Alors la jeune fille céda et son inscription pour la rentrée suivante fut finalisée.

Citation :

(gêne d’Alexandria supposé)