Nos rituels du vendredi sont des moments très particuliers dans notre semaine mais je les attends toujours avec impatience. Chaque vendredi est différent mais toujours délicieux... Aujourd'hui n'échappe pas à la règle. Je murmure mes propositions de récompense et mon mari les accepte avec grand plaisir. L'offre est alléchante après tout. Imaginer sa femme qui vient lécher son torse pour en déguster le chocolat noir qui y est étalé...
Alors que je pensais qu'il allait se pencher vers moi, je le sens qui manipule les chaines au niveau de mes chevilles. Je ne suis à présent plus liée au lit, mais mes pieds restent attachés ensemble. Je vais pouvoir bouger un peu plus. Probablement pour ma deuxième proposition de récompense. Je sens alors l'odeur du chocolat qui vient titiller mon nez alors qu'il n'est qu'à quelques centimètres de moi. Je n'ai pas le temps de lui répondre que je sens déjà ses lèvres qui rejoignent les miennes. Je ne me prive pas de l'embrasser, appréciant autant le baiser que le chocolat fondu qui s'y trouve. Hmm, ce chocolat a bien meilleur goût sur mon cher époux...
Pendant notre baiser, je sens qu'il libère également mes mains. Prête à les poser sur son visage pendant que je l'embrasse, je sens qu'il a une autre idée et le laisse me manipuler à sa guise. Je sens qu'il dirige mes mains dans mon dos et qu'il les attache entre elles ensuite. Hmm menottée les mains dans le dos, quelle charmante idée... Mais déjà, il s'écarte de mon visage et je ne peux plus profiter de ses lèvres délicieuses...
Je me lèche les lèvres pour en faire disparaitre toute trace de chocolat résultant de notre baiser ardent et laisser une belle vue à mon époux.
"Cette récompense ne fait qu'accroitre mon désir brulant pour vous..."
Je me redresse lorsqu'il m'embrasse à nouveau. Ces baisers sont vraiment délicieux, je ne me lasse pas de sentir sa bouche sur la mienne. Mais il y a un autre endroit que j'aimerai lécher à présent... Je décale mon visage, descendant mes baisers dans son cou. Utilisant mes jambes, je me décale pour être sur le côté et je continue la descente de mes baisers, arrivant au niveau de ses pectoraux. L'odeur du chocolat est forte et intense. Elle me fait grandement envie surtout en l'imaginant sur le torse musclé de Monsieur De Chatelet.
Lorsque ma bouche rencontre l'une des aréoles, j'en profite pour lécher et déguster le chocolat qui s'y trouve. Je prends mon temps, léchant avidement tout autour avant de continuer ma recherche tout en embrassant le corps de mon étalon. Je me retrouve sur le deuxième pectoral et lèche également le chocolat qui y est étalé. J'utilise ensuite mes jambes pour descendre sur le lit et me retrouver où je pense être les tablettes de Monsieur. L'odeur du chocolat y est forte, je ne me suis pas trompée. J'embrasse un instant ce corps que je chéris tant avant de lécher chaque parcelle des abdominaux pour récupérer tout le chocolat fondu qui s'y trouve. Je me réallonge ensuite sur le dos, léchant à nouveau mes lèvres.
Le professeur accorde sa récompense à Madame De Chatelet. Il laisse courir la langue experte de sa soumise sur son corps brûlant et imbibé de la friandise favorite de sa femme. Mieux que ça. Il est la friandise favorite de sa femme. Il respire fortement, à la fois apaisé et excité par l'érotisme de sa bouche qui déguste goulûment le chocolat qu'il a sur le corps. Elle le termine et s'allonge, remerciant son maître pour la récompense qu'il vient de lui faire, soulignant qu'elle était délicieuse. Il n'en fallut pas plus pour que Monsieur lui réponde.
Je peux en dire autant de votre bouche, ma chère...
Il se penche à nouveau et s'allonge près d'elle avant de passer sa main sur la joue de son épouse et de lui donner un long et langoureux baiser amoureux. Les souffles et les langues se croisent, s'entrecroisent et dansent une nouvelle fois ensemble dans une valse passionnée et ardente à faire fondre un iceberg. Le cliquetis des chaînes de Madame excite le cœur de Monsieur. La voir entravée de la sorte a toujours eu le don de lui donner de nombreuses envies. Il a une nouvelle idée. C'est alors qu'il quitte les lèvres d'Olivia et se lève une nouvelle fois. Il plonge la main dans la malle de jouets pour adultes en faisant le moins de bruit possible. Il s'assoit à côté de son épouse toujours allongée et l'interroge, la voix suave et pleine de sous entendus.
Et si nous ajoutions un accessoire supplémentaire... Qu'en dites-vous, ma chère ?
Mais il n'attend pas sa réponse. Il sait exactement quoi faire et comment le faire. Il approche ses mains d'Olivia avant d'expliciter la nature de l'accessoire mentionné plus tôt, rien qu'au son de la lanière de cuir qui craquelle quand les mains d'Alexandre jouent avec. Il finit par enfoncer le centre de cette lanière, une boule percée de plusieurs trous, dans la bouche de Madame De Chatelet. Il sangle parfaitement les extrémités du bâillon posé et vérifie bien qu'il est bien emboîté. Il lui sourit en coin avant de poursuivre.
Je croyais que vous hésitiez... J'ai donc décidé pour vous, cela ne vous importune pas, j'espère ?
Il dépose un baiser au niveau de la lèvre inférieure d'Olivia avant de reprendre l'objet qui avait fait énormément de bien à Madame pour l'insérer une nouvelle fois dans l'antre intime qu'il a déjà tant visité. Il actionne à nouveau le jouet quand il est placé stratégiquement sur le bouton d'amour de Madame et s'allonge à nouveau à côté d'elle pour caresser son corps brûlant de désir et d'érotisme. Les doigts experts de Monsieur retournent s'occuper de l'arrogante et généreuse poitrine d'Olivia, tournant autour des durs sommets, glissant sur les aréoles parfaites de la noble femme. Vénus elle-même pâlirait de jalousie face à une telle beauté...
@Indarë
12/05/2023
J'ai des goûts très particuliers. Vous ne pourriez pas comprendre.
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14.06.23 22:17
Le rituel du vendredi soir
Je ne peux qu'adorer ma récompense. Lécher du chocolat sur le torse de mon mari... Je pourrais y passer des heures sans perdre une once de plaisir. Mais je préfère le faire quand je suis pleinement libre de mes mouvements. Comme ça, je peux aussi utiliser mes mains... J'entends sa respiration qui s'emballe et je sens sa poitrine qui se soulève rapidement au rythme des assauts de ma langue. En réponse à sa phrase, je me mords la lèvre. Je rêve qu'il vienne à nouveau embrasser ma délicieuse bouche... Ce qu'il ne tarde pas à faire après avoir caressé ma joue délicatement. Je lui rends son baiser ardent. J'aime quand il m'embrasse comme ça... Je bouge davantage mes mains, toujours derrière mon dos, ce qui fait cliqueter les chaines. J'aime ce bruit, encore plus lorsque je suis privée de ma vue. Etre entravée dans le dos ajoute du piment. Ca me donne encore plus envie de le retourner pour me retrouver au dessus de lui.
Je gémis lorsqu'il quitte mes lèvres. Ses baisers ne sont jamais assez longs à mon goût. Je ne le sens plus à mes côtés, je ne l'entends plus. M'a-t-il laissé seule ? Finalement, il revient quelques instants plus tard et s'assoit près de moi. Je tourne la tête vers l'endroit où j'ai entendu sa voix. Cette dernière qui me donne des frissons de plaisir. J'entends un son caractéristique et sens presque immédiatement après une boule qu'il place dans ma bouche. Voilà donc le nouvel accessoire qu'il voulait ajouter... Je fais non de la tête pour répondre à sa question.
Je suis à présent attachée, les mains dans le dos, et les chevilles ensemble. Je suis toujours privée de ma vue. Et je suis à présent bâillonnée. Le spectacle doit être délicieux pour Monsieur. Rien qu'à l'imaginer dans la même position que moi, me voilà toute humide et brûlante d'un désir encore plus fort. Alors, lorsqu'il rentre à nouveau l'objet vibrant, un petit gémissement m'échappe. La position n'est pas la même que tout à l'heure. Mes jambes sont fermées, donc je suis plus serrée. L'objet est à l'étroit dans mon antre, je le sens encore plus. Alors, lorsque mon époux le met en marche, je ne peux retenir le cri qui sort de ma bouche, étouffé par mon bâillon. Mon corps s'agite et mes gémissements s'amplifient lorsque je sens les mains de mon mari qui viennent s'occuper de ma poitrine. Le tissu est de trop, mais il ne peut le retirer pour le moment. Alors lorsque je sens ses doigts qui se glissent entre le tissu et ma peau, je me cambre pour être au plus proche de lui. Je veux le sentir tout près de moi. Je veux sentir sa chaleur, entendre sa respiration haletante qui montre à quel point son excitation est grande. Je ne peux que l'imaginer à l'étroit dans ses sous vêtements à cet instant...
Alexandre profite de la situation de son épouse pour la toucher et la caresser avec luxure. Il aime Madame De Chatelet comme jamais il n'a aimé quelqu'un de toute sa vie et il lui montre tous les jours. La poitrine de Madame se soulève sous les assauts de Monsieur qui apprécie grandement la vue qu'il a sur son épouse. C'est probablement une des positions dans lesquelles il la préfère lors de leurs petits jeux rituels du vendredi soir. Entendre les gémissements de la belle femme à travers son bâillon a quelque chose de stimulant pour Monsieur De Chatelet. Il adore ce son. Il adore sa voix. Il adore sa femme.
Oh, Olivia... Vous êtes divinement belle...
Il dépose un baiser au niveau de sa lèvre supérieure alors que ses mains descendent petit à petit sur son corps brûlant, trempé de transpiration et tremblant de désir sous les assauts du jouet du couple qui se contente de faire son travail. Alexandre recule à nouveau jusqu'à arriver aux pieds de Madame De Chatelet. Il saisit délicatement un des deux pieds et hume son parfum avant d'y donner un baiser. Cette peau si délicate est un réel plaisir à toucher pour Monsieur De Chatelet qui sent encore le désir monter en lui en écoutant les gémissements de rire, de surprise, de plaisir étouffés de son épouse et ses souffles s'échappant dans un sifflement discret par les trous de la boule percée qui est parfaitement logée dans sa bouche. Dans un soupir, il décide de passer ses lèvres sur la plante de son pied, puis d'y donner quelques coups de langue. Elle est parfaite. Au bout de plusieurs minutes, il détache la chaîne sur un des deux bracelets afin de la libérer partiellement. Mais il ne perd pas plus de temps avant de faire courir ses doigts sur la plante du pied de Madame afin de la chatouiller.
Quelle merveilleuse voix...
Le pied de Madame De Chatelet bien en main, Monsieur se plaît à infliger une douce torture à son épouse. Il affiche un sourire qu'elle ne peut pas voir mais qui s'entend à sa respiration et au petit rire qu'il a en la regardant. De son autre main, il actionne la télécommande du jouet qui adopte un autre mode de vibration, pour une continue et plus intense au niveau de son organe des plaisirs. La voir ainsi a tendance à réveiller petit à petit la bête en lui. Cette douce torture risque de durer encore quelques minutes, puis, lorsqu'il s'en sera lassé, il aura un tout autre projet pour la suite de leur partie de jeux d'adultes...
Vous appréciez, ma chère ? Dois-je aller plus vite, moins vite.. ? Dites-moi tout, je vous écoute.
@Indarë
12/05/2023
J'ai des goûts très particuliers. Vous ne pourriez pas comprendre.
Je suis totalement à la merci de mon époux et j’adore ça. Il peut faire absolument ce qu’il veut et il en profite pour caresser mon corps sous toutes les coutures. Sentir ses caresses me provoque des frissons involontaires. D’autant plus que mes gémissements sont étouffés par mon nouveau bâillon, de quoi éveiller encore plus les envies de mon mari.
Je ne peux pas vraiment réagir à sa remarque alors j’esquisse un léger sourire. Je sais qu’aucune parole ne pourra traverser cette petite boule percée. Je sens sa bouche sur l’une de mes lèvres. L’embrasser ne va plus être possible pour le moment non plus, quelle douce torture… Ses caresses continuent et mon corps ne peut que réagir positivement à chaque contact qu’il a avec ma peau.
Il descend finalement vers une partie plus sensible de mon corps. Les pieds. Mes réactions oscillent entre des tortillements, des rires et des gémissements étouffés. Mon corps réagit en essayant de bouger les pieds pour lui échapper. Ce qui est bien entendu impossible à cause des liens. Sa langue me provoque encore plus de chatouilles qui amplifie encore davantage chacune des réactions de mon corps à ses assauts. Entre l’objet et la langue de mon époux, je me débats gentiment au point presque d’avoir un point de côté à cause de ma mauvaise respiration. Les chatouilles avec ses doigts me font davantage rire et encore moins bien respirer. Mais j’entends à son rire que cette position lui plait beaucoup alors ça ne fait qu'augmenter encore le plaisir que je ressens et mes envies concernant mon mari se font plus fortes.
Je sens tout à coup que le mode de vibration a changé, il est plus intense. Un long gémissement m’échappe tant la sensation est exquise. J’en veux encore, j’en veux plus. Ma respiration est encore plus saccadée. Mais toujours aucune parole ne peut sortir de ma bouche. Alors, lorsqu’il me pose la question, je suis encore plus frustrée de ne pas pouvoir lui répondre. Je grogne un coup et réfléchis à une manière de me faire comprendre. Mais entre mon bâillon, mes yeux bandés et mes membres liés entre eux, je ne vois pas vraiment comment faire… Je hoche la tête de haut en bas pour la première question puis plus doucement pour faire comprendre d’aller moins vite. Je ne voudrais pas que mon plaisir arrive à son maximum trop vite…
Monsieur De Chatelet est très attentif aux gémissements étouffés de son épouse. Non seulement car il adore les entendre, mais aussi parce qu'en les entendant, il parvient à interpréter les désirs de sa soumise. Il est dans un premier temps fort satisfait de la sensation qu'il lui procure s'il en croit l'approbation que Madame lui fait avec les moyens de communiquer dont elle dispose qui sont extrêmement limités. Il l'écoute, mais ses réponses formulées oralement ne lui permettent pas de se faire comprendre. Impossible non plus de faire passer ses émotions par son regard et ses mains prises ne peuvent rien répondre non plus. Alors c'est d'un simple hochement de tête que Madame fait comprendre à Monsieur qu'elle aime ce qu'il lui fait. Bien entendu, il le savait, mais le savoir de la concernée est toujours ce qu'il préfère. En hochant la tête, elle fait comprendre à Monsieur de ralentir le travail de leur jouet vibrant. Il lui répond avec douceur alors qu'il s'empare de la télécommande.
Très bien, ma chère.
Alexandre s'exécute et baisse le niveau de vibration de l’œuf vibrant au minimum. Mais il l'assiste cependant en le dirigeant délicatement afin de le faire vibrer tout autour de son organe des plaisirs. Il en profite d'ailleurs pour admirer les longues jambes fines et blanches de Madame. Elles sont parfaites, comme tout le reste du corps de l'épouse De Chatelet. Puis il retire en douceur sa main de l'intimité d'Olivia au bout de quelques instants en elle. Il lèche ses doigts trempés du divin miel féminin de son épouse afin d'en profiter jusqu'à la dernière goutte. Aucun gaspillage de ce liquide si précieux n'est toléré et Alexandre met un point d'honneur à toujours boire ce délicieux nectar.
Retirons donc ce vêtement afin de mettre à l'aise votre intimité...
Il dépose alors ses mains des deux côtés du sous-vêtement de son épouse entravée pour libérer l'accès à son antre, faisant glisser la pièce de tissu et de dentelle jusqu'en bas des chevilles, jusqu'à la retirer complètement. Il s'allonge alors à côté de son épouse et fait courir ses mains sur son corps de déesse. Son érotisme est palpable, sa peau brûlante, son odeur enivrante, de quoi rendre l'homme déjà complètement épris de sa femme en homme fou d'elle. Il fixe le bandeau qu'elle a sur les yeux, puis la boule dans sa bouche, se décidant qu'elle le dérange trop pour ce qu'il veut faire. Il pensait à la torturer en lui enlevant la parole et profiter de la vue, mais le désir d'embrasser ses lèvres à pleine bouche est bien trop grand. Sa main qui explorait son corps entravé remonte avec une infinie douceur jusqu'à la lanière de cuir qu'il fait délicatement descendre sur la gorge d'Olivia, lui enlevant son bâillon pour finalement le remplacer par un langoureux baiser durant une longue minute alors que les vibrations de l’œuf persistent. Lorsque le baiser prend fin, il murmure de tendres mots tout contre ses lèvres.
Je vous aime tant, ma chère...
Sa main caresse sa joue alors que son bras passe en dessous d'elle afin de la serrer contre lui, la faisant pivoter au passage afin d'être face à face, allongés l'un contre l'autre dans une parfaite union... Il lui adresse un sourire radieux, même si elle ne peut le voir, il s'entend rien qu'à sa respiration, aux tremblements de son corps, aux battements de son coeur.
@Indarë
12/05/2023
J'ai des goûts très particuliers. Vous ne pourriez pas comprendre.
Je suis entravée, je ne vois rien et je ne peux plus parler. Il m'est très difficile de me faire comprendre mais, avec le temps, nous avons appris à communiquer mais en ayant des moyens limités. J'arrive même à lui faire comprendre que je préfère qu'il ralentisse un peu le jouet, afin que je puisse encore profiter pleinement de ce moment.
Même s'il ralentit, il en profite pour le faire bouger sur des zones sensibles, m'arrachant de nouveaux gémissements. Je sens également ses doigts qui s'invitent dans mon intimité et mon corps se cambre automatiquement. Ses doigts experts me font ressentir d'autres sensations que je ne peux exprimer autrement qu'avec des gémissements étouffés par mon bâillon. Je ne doute pas que ma manière d'exprimer mon plaisir lui plaise. Je sens ma culotte qui glisse le long de mes jambes. Mon antre est totalement à sa merci. Ses caresses me donnent des frissons et mon corps suit ses doigts qui courent sur ma peau.
Je sens finalement ses doigts qui remontent vers mon visage et qui viennent se glisser derrière ma tête pour me retirer mon bâillon. A peine ai je le temps de prendre une respiration que je sens déjà ses lèvres qui rejoignent les miennes. Son baiser langoureux accélère les battements de mon cœur. Mais je ne peux m'empêcher de tout faire pour aller chercher sa langue et profiter de ce baiser dont je rêvais tant. Les vibrations me font toujours autant de bien dans mon intimité et ma respiration est saccadée suite aux assauts de l'œuf et des lèvres de mon mari sur les miennes. Je peux enfin lui répondre avec ma voix.
"Et je vous aime à en perdre la raison, mon bel étalon..."
Je me laisse faire lorsqu'il fait glisser son bras en dessous de moi. Je ne vois toujours rien mais j'entends encore. Et je ne peux pas le prendre à mon tour dans bras alors je me contente de venir caler ma tête dans son cou, sentant son parfum enivrant. J'entends sa respiration, je sens les tremblements de son corps contre moi. Je viens déposer un léger baiser dans son cou, profitant de ce petit moment de répit.
Monsieur respecte scrupuleusement les préférences de Madame. Il a parcouru son corps des milliers de fois depuis qu'il a eu le plaisir et le privilège de pouvoir prendre son cœur et ses lèvres. Le plaisir d'Olivia De Chatelet n'a plus aucun secret pour lui, maintenant. Il y reste cependant très attentif, prêt à accomplir le moindre de ses désirs. Son plaisir passe aussi et surtout par celui de son épouse qu'il embrasse fougueusement après y avoir été privé si longtemps, ironiquement, par son propre fait. C'est lorsqu'elle lui déclare son amour une nouvelle fois qu'il passe sa main dans ses longs cheveux noirs et lui caresse avec douceur la joue, son pouce parcourant ses lèvres avec sensualité.
J'adore entendre ces mots sortir de votre bouche...
Son autre main descend le long de son dos, de ses hanches et de ses fesses, jusqu'à palper sa cuisse et remonter lentement jusqu'à l'intimité de Madame qu'il titille à nouveau en même temps que l’œuf encore en marche qu'il a inséré plus tôt. Il le saisit et le dirige quelques instants avant de finalement le retirer. L’œuf a assez joué. C'est au tour de Monsieur de le faire. Alors qu'il retire sa main du sexe de son épouse, il retire finalement le dernier rempart à sa propre nudité en faisant glisser son sous-vêtement le long de son corps. Alexandre dépose un baiser sur les lèvres avant de prendre la parole.
Il est temps que votre étalon prenne le relais, ma chère...
Alexandre s'allonge sur le lit, adossé aux oreillers qu'il a disposés de sorte à être parfaitement bien installé avant de saisir les hanches de son épouse et de l'installer sur lui, à califourchon sur son bassin. La sensation de sa caverne aux plaisirs en contact avec son sexe et absolument divin. Il n'a qu'une envie, c'est d'y pénétrer prudemment afin d'y trouver des milliers de plaisirs charnels. Chose qu'il fait lentement afin de sentir toute la chaleur, l'humidité exquise et la profondeur de l'intimité de sa femme. Il soupire de plaisir en couplant cette sensation avec la vision de sa femme entravée et les yeux bandés. La perfection. Ses mains remontent le long des cuisses d'Olivia et rejoignent ses mains dans son dos. Elles retirent délicatement la chaîne des menottes de Madame. C'est à son tour d'imposer son rythme... Il embrasse longuement sa délicieuse bouche avant de murmurer tout contre ses lèvres.
Allez-y, ma chère... Montrez-moi quelle cavalière exceptionnelle vous êtes. Votre étalon a hâte de galoper avec vous...
Il adore la provoquer de la sorte. Il aime lui laisser plus de liberté à ce moment précis de leurs sessions où Monsieur domine Madame, lorsqu'il la sent prête à exploser. Son membre se contracte en elle, comme s'il était prêt à la suite des événements...
@Indarë
12/05/2023
J'ai des goûts très particuliers. Vous ne pourriez pas comprendre.
Lorsqu'il me permet de retrouver l'usage de la parole, je ne me prive pas de lui déclarer à quel point je l'aime. Je l'aime à en mourir. Etre sa soumise me procure un plaisir sans nom.
Toujours privée de ma vue, je sens ses caresses qui parcourent à nouveau mon corps. Après avoir encore un peu joué, il retire finalement l'œuf de mon intimité. J'entends un bruissement de vêtements, mais pas l'un des miens. Je me mords la lèvre en imaginant que mon époux est à présent nu. Et la phrase qui suit son baiser me fait encore davantage frissonner.
"Oh... Oui..."
J'avais lâché ces mots dans un murmure. Il voulait passer aux choses sérieuses. Et à en croire la position dans laquelle il m'avait installée, il voulait certainement que je le chevauche... Je suis toujours attachée, mains dans le dos, alors je me laisse manipuler. Je ne vois rien, je ressens tout. Je me laisse totalement faire lorsqu'il me pénètre et gémis alors que je me retrouve assise sur lui, qui se trouve parfaitement en moi. Je l'entends soupirer de plaisir et ça me fait sourire. Je sens alors ses mains qui glissent dans mon dos pour retirer mes entraves. Lorsqu'il m'embrasse, j'en profite pour venir délicatement déposer mes mains sur son visage.
"Je vous monterai les yeux fermés, très cher..."
J'ai volontairement donné plusieurs sens à cette phrase. Je connais par cœur son corps alors garder mon bandeau sur mes yeux alors que nous serons en train de faire l'amour ne me posera aucun souci. Je sens son membre qui se contracte en moi et je prends cela comme l'autorisation pour moi de me mettre en mouvement.
Je viens à nouveau chercher ses lèvres avec les miennes, m'autorisant même à passer ma langue sur sa bouche avant de descendre délicatement dans son cou. Dans le même temps, mes mains glissent sur son torse musclé alors que mes hanches se mettent en mouvement.
J'ondule de mon bassin et descends mes mains sur ses avants bras puis saisis ses poignets pour venir poser ses mains sur mes fesses. Puis, je retourne caresser son torse tout en continuant mes ondulations. Je vais d'un coup plus vite, pour le surprendre, puis je ralentis à nouveau, avec un sourire. Je reste attentive à ses gémissements, ses soupirs, sa respiration. Ma langue vient lécher doucement son cou avant de descendre vers ses pectoraux dont je m'occupe l'un après l'autre.
Je me redresse bien droite et fais à présent des mouvements de haut en bas. Sortant parfois presque entièrement le sexe de Monsieur de mon antre avant de redescendre aussitôt pour être au plus proche de lui. Je viens à nouveau chercher ses lèvres, les pressant avec plus d'impatience, plus sauvagement. Je viens chercher sa langue pour entamer une danse endiablée avec elle. Mes mouvements de bassin s'accélèrent alors que je viens agripper les épaules de mon époux, enfonçant légèrement mes ongles dans sa peau sous l'excitation.
"J'aime tant vous chevaucher très cher..."
Tout comme j'aime être chevauchée par mon merveilleux époux.
Monsieur De Chatelet embrasse fougueusement son épouse. Il s'était privé bien trop longtemps de la bouche d'Olivia en pensant la restreindre. Bien sûr, cela avait marché. Mais beaucoup trop bien puisqu'il en était privé lui aussi. Il avait cependant beaucoup profité des gémissements étouffés qu'elle lui avait offerts avec sa merveilleuse voix. Mais maintenant que sa bouche est libre, il peut l'embrasser à son aise, l'écouter lui parler de façon intelligible... Alexandre sourit en coin lorsqu'il entend sa femme lui signifier qu'elle pourrait le monter les yeux fermés et qu'elle le ferait. Il pousse un rire satisfait avant de répondre.
Je n'en attendais pas moins de vous, ma chère...
Son membre tendu se contracte davantage lorsqu'elle commence à s'échauffer. Le galop ne viendra pas tout de suite, mais il se prépare à une intense session. Sa cavalière est redoutable et il le sait. Les mouvements de son bassin sont fluides, ondulent à la perfection. Il aime sentir sa virilité compressée sans l'antre humide de sa femme. Il se sent vivant lorsqu'il lui fait l'amour et ça n'a jamais changé avec les années. Il a longtemps parcouru son corps et effleuré des milliers de fois son visage. Il le connaît par cœur comme elle connaît le sien, au point qu'elle s'y repère même sans se servir de sa vue. Il aime la voir les yeux bandés. Non seulement, le fait de la savoir privée d'un sens l'excite grandement, mais en plus d'aimer la voir avec une partie du visage caché, il la sait très facilement excitée lorsqu'elle est privée de sa vue. Ce qui signifie qu'elle prendra encore plus de plaisir. Quant à lui, s'il adore particulièrement leurs sessions intimes aux goûts particuliers, il tire partiellement son propre plaisir de celui de son épouse. Les baisers brûlants qu'ils s'échangent excitent grandement Monsieur qui voit ses mains posées sur le royal séant d'Olivia, qu'il agrippe avec avidité, comme son trésor le plus précieux. Il soupire de plaisir en sentant les lèvres et la langue de sa femme s'amuser avec son corps entièrement nu. Son cœur bat avec ardeur lorsqu'elle accélère. Jusqu'à ce qu'il laisse échapper un râle de plaisir en sentant les ongles s'enfoncer dans sa peau d'albâtre. Son excitation est totale lorsqu'elle emploie le terme « chevaucher » et qu'elle joint le geste à la parole en partant au triple galop, faisant presque entièrement sortir le membre tendu de Monsieur de son intimité pour le faire rentrer avec autant de fougue que si elle avait voulu s'empaler dessus, arrachant un soupir d'excitation au professeur.
J'aime lorsque vous le faites...
Il l'assiste alors en plantant ses propres ongles, bien que courts, dans la chair du divin fessier d'Olivia, la tirant vers lui pour la pénétrer toujours plus profondément, toujours plus loin, avec toujours plus de fougue, d'amour et de plaisir. Il l'admire toujours et encore, admirant sa poitrine se soulever sous les assauts phalliques perpétrés par son bassin. Il ne se lasse pas de voir sa cravate pendre à son cou, son masque de satin noir sur les yeux, sa bouche entrouverte appelant la sienne pour retourner à leur valse ardente. Il ne tarde pas à l'embrasser dès qu'elle est assez près de lui pour pouvoir toucher ses lèvres. Qu'est-ce qu'il peut l'aimer ! Il y va de ses coups d'estoc amoureux, lâchant un halètement bestial à chaque fois qu'il veut aller le plus profondément possible en elle. Son membre est son épée et il aime aller et venir dans son fourreau, ne s'en lassant jamais.
Vous avez toujours été une divine cavalière, Olivia... Vous rendez votre étalon complètement fou de désir et de plaisir...
Son compliment est sincère, sans la moindre flatterie. Il ponctue sa phrase de baisers, de morsures, de griffures et de grognements bestiaux. La chaleur est à son paroxysme, la tension également. Le souffle court, il respire fort à l'oreille de sa femme. La bête en lui est réveillée.
@Indarë
12/05/2023
J'ai des goûts très particuliers. Vous ne pourriez pas comprendre.
J'aime cette petite boule qu'il m'a mise dans la bouche quelque minutes auparavant. Cela torture autant le soumis que le maitre. Mais je suis également contente qu'il l'enlève afin que je puisse à nouveau sentir le goût de ses lèvres. Je profite de chacun de ses baisers, toujours privée de ma vue. Je ne doute pas que la vue d'Alexandre sur mon corps au-dessus du sien et de mes yeux toujours bandés doive lui faire un certain effet.
Je commence doucement avec mes hanches, laissant mes doigts parcourir son corps et glisser sur ses abdos contractés. Je souris. J'aime ce que je touche. Je connais tout cela par cœur mais je ne me lasse pas d'y faire glisser mes doigts dès que je le peux. Et je compte bien faire en sorte que mon époux fasse de même. C'est pour cette raison que j'ai entrepris moi même de poser ses mains sur mon corps qu'il agrippe avec avidité. Je me mords la lèvre en sentant sa poigne sur mon fessier.
J'aime entendre le son de sa voix exprimant son plaisir. J'ai griffé ses épaules et il faut croire qu'il aime ça. On pourrait croire que je marque mon territoire. Et, à vrai dire, j'aime cette idée même si je le sais fou de moi autant que je le suis de lui. Des gémissements de plaisir m'échappent également à chaque fois que je m'empale sur lui. Sentir son membre au fond de moi me procure un plaisir immense. Je viens mordiller son oreille avant de lui chuchoter ma réponse.
"Alors je vais continuer à le faire..."
Il prend un peu le contrôle en imposant un certain rythme à mes hanches et je le laisse faire avec plaisir. J'aime quand il reprend le contrôle comme ça. Je me rapproche de lui, déposant généreusement ma poitrine sur son torse mais il me devance en me volant un baiser. Nos respirations sont encore plus saccadées, lui comme moi sommes presque à bout de souffle tant notre plaisir est immense. D'un geste, j'enlève le masque et le lance dans la pièce. Je veux le voir, je veux voir son plaisir. Et ce que je vois me plait énormément. Les mouvements de respiration rapide, le corps dégoulinant de sueur, son regard sur moi, les mouvements de son bassin pour s'enfoncer en moi. Je me mords la lèvre en laissant échapper un gémissement.
"Désirez vous me montrer vos talents de cavalier très cher ?"
Je suis penchée au dessus de lui, mon regard à présent plongée dans le sien. Je grogne de plaisir en sentant ses morsures et ses griffures. Qu'est ce que j'aime quand il fait ça... Je viens à nouveau chercher ses lèvres pour entamer une nouvelle danse avec sa langue.
Le couple De Chatelet n'a plus grand chose à voir avec les gens raffinés qu'ils sont d'ordinaire. Surtout Monsieur qui laisse sa part bestiale prendre le contrôle de lui. Si bien sûr il a toujours beaucoup respecté son épouse, l'accord tacite entre eux durant leurs jeux adultes rend la chose plus forte encore. Olivia sait son mari fou amoureux d'elle et un seul mot de sa part suffit à le faire s'arrêter. Un seul mot, un seul geste, un seul regard. Depuis des années qu'ils versent dans des jeux interdits de luxure, ils ont mis au point un système pour n'importe quelle situation. Qu'il manque la vue, la parole ou la possibilité de faire un mouvement, le couple peut toujours se faire comprendre pour que le jeu en reste un et qu'il y prenne fin au bon moment s'il est nécessaire de le faire. Madame laisse ses doigts courir sur le torse nu de Monsieur et laisser des traces sur son passage. Des traces rouges, des griffures qu'Alexandre adore recevoir, ressentir et contempler après leurs ébats, comme la marque d'un merveilleux souvenir. Les râles excités d'Alexandre arrivent jusqu'aux oreilles d'Olivia qui se sait parfaitement à son goût et experte en la matière. Elle est la seule femme à avoir le droit de poser ses mains sur son corps et elle lui rend bien la politesse.
Profondément enfoncé dans l'intimité de son épouse, Monsieur De Chatelet pousse un râle à chaque fois que Madame s'empale sur son membre dans un délicieux soupir de plaisir qui sonne comme une symphonie parfaite à son oreille. Qu'est-ce qu'il peut l'aimer... Les mains du professeur empoignent le royal fessier d'Olivia et accompagnent chacun de ses mouvements pour que le couple ressente un maximum de sensations lors de leurs ébats ardents de luxure, de bestialité et d'amour. Leurs baisers sont brûlants, autant que leurs corps trempés de sueur. Alexandre atteint un état second lorsqu'il croise le regard de sa femme qui a décidé d'enlever le masque qu'il avait déposé sur ses yeux pour la priver de sa vue. Elle en avait le droit, après tout, il a retiré la chaîne de ses menottes aussi pour ça. La soumise sait prendre des initiatives, ce qui plaît beaucoup au dominant. A chaque fois qu'il la regarde dans les yeux à ce moment-là, il revoit leurs premières fois, d'une manière presque poétique où ils étaient certes moins expérimentés, mais où leurs sentiments étaient déjà plus résistants que la plus solide des chaînes. Olivia propose à son mari d'échanger leurs places. Avec un grand sourire, ce dernier lui répond.
Avec grand plaisir, mon aimée...
Il mord, griffe et empoigne à son tour le corps parfait de son épouse, comme un naufragé se tient à sa bouée. Il sent la bouche de sa femme se joindre finalement à la sienne, laissant leurs langues entrer dans un ballet effréné. Il aime quand elle plaque sa bouche contre la sienne. Leurs baisers sont si passionnés, si brûlants qu'ils en seraient indécents s'ils étaient échangés en public, d'autant plus qu'en étant parfaitement emboîtés l'un dans l'autre et la merveilleuse poitrine délicatement posée sur le torse d'Alexandre, leur contact est total, ils ne pourraient pas être plus proches l'un de l'autre. Il inverse leurs positions après s'être retiré, allongeant Madame à la place qu'il occupait jusqu'à maintenant. Puis il retourne goûter à la bouche de son épouse alors qu'il entre en elle avec une élégante poussée. Il vient cueillir le gémissement qui s'échappe des lèvres d'Olivia et commence à faire de profonds coups de reins pour aller plus profondément dans sa chaude et douce intimité, à chaque aller-retour. Son cœur s'accélère. Sa respiration aussi. Son désir et son plaisir également. Il aime son épouse. Il la veut. Il la possède. Il admire son corps de déesse et la caresse comme son trésor le plus précieux.
Olivia...
Tout explose. Il se laisse aller alors qu'il prend les lèvres de son épouse une nouvelle fois dans un baiser interminable, entendant ses gémissements et en poussant les siens, jusqu'au râle de l'extase, criant le nom de sa femme, vidant l'air de ses poumons. L'ouragan passe, l'orage des émotions se calme et Alexandre s'écroule aux côtés d'Olivia, lui tenant toujours la main de la sienne. L'autre vient se loger sur la joue de sa tendre amoureuse, en la regardant droit dans les yeux, apaisé et le sourire aux lèvres.
Je vous aime tant...
Il dépose un baiser, bien plus doux, plus chaste et plus tendre que tous les précédents. Son palpitant se calme alors qu'il est allongé, admirant le corps d'Olivia, radieux comme une fleur éclairée par le soleil de l'aube. Leur rituel du vendredi soir se termine bientôt dans un calme apaisant.
@Indarë
12/05/2023
J'ai des goûts très particuliers. Vous ne pourriez pas comprendre.
Cela fait des années que nous avons ce genre de jeu. Il n'y a plus besoin de communiquer pour nous comprendre. Nous nous comprenons parfaitement d'un simple regard ou d'un simple geste. Que ce soit dans la vie de tous les jours ou durant nos jeux interdits, la communication nous est propre. Tout comme quand je laisse des marques avec mes ongles sur son torse. Je sais qu'il aime ça, et moi aussi, alors je ne m'en prive pas.
A califourchon sur lui, je vais plus ou moins vite, me délectant de ses cris de plaisir. Il n'hésite pas à m'accompagner de ses mains posées sur mes fesses, qui accompagnent chacun de mes mouvements. J'ai enlevé mon masque pour mieux le voir. L'entendre était déjà exquis, mais le voir l'est encore plus. Je mords la lèvre tout en continuant mes mouvements sur lui. Je lui propose finalement d'échanger nos places, ce qu'il accepte avec grand plaisir. A son tour, il marque mon corps de morsures et de griffures et je laisse échapper un gémissement de plaisir. Ce que j'aime quand il fait ça...
Je viens échanger un baiser passionné dans le même temps. Nos langues s'entremêlent alors qu'il continue de caresser mon corps de ses mains expertes. Il finit par se retirer avant d'échanger nos places. Je me retrouve allongée en dessous de lui et la vision de son corps juste au-dessus de moi me donne envie de le croquer à nouveau. Un gémissement m'échappe alors que je le sens entrer à nouveau en moi. Gémissement qu''il vient interrompre de sa bouche sur la mienne.
Il va soudain plus vite et des cris m'échappent à chacun de ses assauts. Il va plus loin et nos respirations s'accélèrent. Mon cœur bat si vite que je pourrais avoir l'impression qu'il va sortir de ma poitrine. Il me fait atteindre le septième ciel en même temps que lui alors que je prononce son prénom dans un cri en même temps que lui.
"Alexandre..."
Je le regarde alors qu'il s'installe à côté de moi, le sourire aux lèvres. Le contact chaud de sa main sur ma joue m'aide à reprendre une respiration normale.
"Moi aussi, je vous aime, mon tendre époux..."
Son baiser est tendre et délicat et je ferme les yeux au contact de ses lèvres sur les miennes. Je viens ensuite poser ma tête sur son torse, après lui avoir souri. Mes yeux se ferment alors que je sombre dans un sommeil calme et sans rêve.
